Association des Familles Cliche (AFC)



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Lancement du 2e volume
du Dictionnaire généalogique
Jacques Michel et
la famille Cliche

Francis Luna-Grenier
vers les JO de Rio 2016
Jonathan Towes remporte la coupe Stanley
et le Trophée Mark-Messier
Madame Thérèse ClicheVézina
fêtera bientôt ses 103 ans
Sur la pierre
tombale d'Augustin


« Le plus complet et le plus beau

dictionnaire généalogique d’une

famille dont les origines québécoises

remontent au 17e siècle »

Marcel Cliche  






Pour  vous procurer
les volumes du Dictionnaire généalogique:
 remplir le bon de commande
qui se trouve sur le site de l’Association à la page: 

 www.genealogie.org/famille/cliche/ArtPub.html

Sans prétention, il peut être dit, qu’avec les tomes II et III de Histoire et généalogie des familles Cliche, vous avez en main le plus complet et le plus beau dictionnaire généalogique d’une famille importante en nombre et en influence dont les origines « québécoises » remontent au XVIIe siècle.
Qu’est-ce qui justifie cette affirmation?
1. La qualité de l’enveloppe extérieure qui comprend les couvertures, les épines, les pages de garde et les reliures, avec des photos et l’arbre généalogique stylisé. L’ensemble a un bel aspect et les deux volumes malgré des reliures différentes permettent de voir les numéros d’ascendance ou de famille (gauche) et de descendance (droite) sans mettre trop de pression.
2. L’importance du nombre de descendants de Nicolas Cliche et de Marie-Madeleine Pelletier dans le dictionnaire, par rapport au nombre total de descendants du couple souche, avec un accent particulier aux enfants issus des quinze branches féminines et des femmes porteuses du patronyme Cliche. À cette constatation s’ajoute la durée de la période couverte, soit de 1675 à 2015, en commençant par le mariage de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier, le 13 octobre 1675, à Guillaume Audet (Marie-Ève Pilon), petit-fils de Monique Cliche (Gérard Spénard), le 4 juillet 2015. La descendance s’étend sur quatorze générations.
3. Les tomes II et III du dictionnaire généalogique se distinguent par la place qu’y occupent l’histoire et les illustrations.

Ainsi en vous procurant le dictionnaire vous possédez :
a) Un recueil généalogique, véritable mémorial des personnes disparues et vivantes de la grande famille Cliche.
b) Un livre sur l’histoire des descendants de Nicolas et Marie-Madeleine. Trois cent soixante-dix ans après la naissance de Nicolas, en France, et trois cent quarante ans après son mariage, en Nouvelle-France, sa tribu se situe majoritairement au Québec, aux États-Unis (en Nouvelle-Angleterre et les États au sud des Grands Lacs) et en Ontario. Elle est aussi présente dans toutes les provinces canadiennes, excepté Terre-Neuve et l’Île-du-Prince-Édouard. À souligner que des rejetons vivent et travaillent, ou ont vécu et travaillé sur les cinq continents. De plus, les mentions non exhaustives des métiers et des professions, et les notices biographiques démontrent que les filles et les fils des ancêtres ont excellé dans toutes les sphères de l’activité humaine.
c) Un album photographique d’une grande richesse. Vous y trouvez des portraits de toutes les époques, et plusieurs représentent des gens nés avant 1860.

BRÈVE PRÉSENTATION DU TOME III
(DEUXIÈME VOLUME DU DICTIONNAIRE)

– Il compte mille cent soixante pages et il est numéroté de 931 à 2090, en continuité avec le tome II, paginé de 1 à 930.
– Il présente les descendants des générations 10 à 14.
– Les familles sont présentées dans des encadrés ou rectangles et au bas des encadrés pour certaines familles dans le tome III.
– Le tome II comprend les familles 1 à 2954 et le tome III les familles 3021 à 9885.
– Pour faire votre généalogie ou celle des autres, il est toujours mieux de commencer par soi pour remonter jusqu’aux ancêtres (ascendance).
– La numérotation des familles n’est pas toujours continue parce qu’il a été décidé d’arrêter les descendances à la neuvième, dixième ou onzième génération, soit parce que le lien avec les Cliche est éloigné, ou soit par la contrainte du nombre de pages.
– Autre cas, dans le tome III, plusieurs numéros de descendance (droite) ne conduisent pas aux descendants de la génération suivante. Ils ont été placés volontairement pour permettre aux familles concernées de continuer leur descendance à partir de ces numéros.
Je vous souhaite de belles heures à feuilleter le volume, à reconstituer votre généalogie et celles de parents que vous connaissez, à découvrir votre parenté, plus ou moins éloignée, à regarder les illustrations et à lire les textes historiques.

Marcel Cliche

Lancement du 2e volume du Dictionnaire généalogique
Des milliers de descendants des générations 10 à 14

Comme nous avons pu le constater depuis 28 ans, l’historien et généalogiste Marcel Cliche fait rarement les choses comme tout le monde; le plus souvent, il les fait mieux. Le fruit de son dernier travail ne fait pas exception à la règle. La deuxime partie du Dictionnaire généalogique des descendants de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier (générations 10 à 14, qui a été dévoilée lors de la fête des familles Cliche, à Saint-Joseph le samedi 30 mai 2015, est à la hauteur du premier volume (générations 1 à 9). C’est un ouvrage hors du commun. Voici certains aspects de ce dictionnaire qui en font un ouvrage exceptionnel. (Lire le texte ci-contre.)





Le premier volume du dictionnaire avait 932 pages. Le deuxième volume en a près de 1160. Ils sont accompagnés d’un Index de 182 pages, offert gratuitement avec l’achat des deux volumes au coût de 150$.

Habituellement un dictionnaire généalogique se présente comme une énumération de noms des descendants d’un ou de plusieurs ancêtres. Même si les informations qu’il contient sont importantes, la présentation est rarement attrayante et peut même paraître rébarbative à la plupart des simples mortels que nous sommes.
Le dictionnaire que nous offre Marcel Cliche fait exception à cette règle. C’est évidemment un recueil de noms de descendants, mais également un «livre d’images» dont les quelque 1100 pages (le premier volume avait 932 pages) sont parsemées de centaines de photos de personnes, de familles et de lieux, de cartes géographiques et autres  illustrations. C’est aussi un livre d’histoires de familles, de notices biographiques et de rubriques-découvertes. Ainsi l’ouvrage peut se consulter comme un dictionnaire généalogique conventionnel (un index élaboré et de nombreuses notes explicatives en bas de pages facilitent d’ailleurs cette consultation), mais peut également se feuilleter comme un livre d’histoire amplement illustré.

Le Dictionnaire généalogique des descendants de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier se distingue également de la plupart des autres ouvrages du genre par la place importante donnée à la descendance féminine du couple souche. Dans certains cas, cette descendance s’étend sur les 14 générations et permet de constater que la famille Cliche est liée à la plupart des grandes familles souches de la Nouvelle-France (les Amiot, Jobin, Denis, Poulin, Giguère, Bédard, Lessard, Lambert, Cloutier, Nadeau, Roy, etc.). On découvre ainsi que des personnages illustres de l’histoire du Québec et de l’Amérique sont des descendants du couple Nicolas Cliche – Marie-Madeleine Pelletier, dont l’historien François-Xavier Garneau, l’ex-juge de la Cour Suprême Claire-L’Heureux Dubé, le joueur de hockey Mario Lemieux, le célèbre médecin Rodolphe Maheu, le poète Saint-Denys Garneau, les aviateurs Arthur et Joseph Fecteau, des hommes politiques comme Raoul et Octave Poulin, et même, par alliance, René Lévesque par sa première épouse, Louise L’Heureux.

La publication de ce Dictionnaire généalogique permet également de modifier l’impression courante que la famille Cliche est une «petite famille» par le nombre de ses membres. Il est vrai que la famille Cliche se classait au 631e rang parmi les 1 000 plus importantes au Québec en 2006 selon l’Institut de la statistique du Québec, mais en fait (et l’ouvrage de Marcel en fait foi) la descendance de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier se compte par plus de 50 000 personnes, au Québec, au Canada et aux États-Unis. Car c’est aussi une particularité de cet ouvrage: la découverte récente de plusieurs familles de descendance Cliche aux États-Unis est intégrée à l’ouvrage, dans une section découverte, sous la forme de rubriques généalogiques.

Pour toutes ces raisons (présentation innovatrice du contenu, large part faite à la descendance féminine, recherches généalogiques exhaustives et nombreuses découvertes), le Dictionnaire généalogique des descendants de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier est un livre essentiel pour toute personne intéressée à découvrir ses racines.

Pour vous procurer ces ouvrages, voir le bon de commande à la page
PUBLICATIONS ET
ARTICLES-SOUVENIR.

Haltérophilie

Francis Luna-Grenier
remporte le bronze
aux Jeux panaméricains


La route vers les Jeux Olympiques
de Rio 2016 lui est grande ouverte



HOSHAWA, Ontario - L’haltérophile Francis Luna-Grenier a été décoré de la médaille de bronze chez les moins de 69 kg, dimanche 12 juillet 2015, aux Jeux panaméricains de Toronto, grâce à un total de 299 kg.

Le Montréalais a eu besoin de deux essais pour réussir son lever de 132 kg à l’arraché. Ensuite, il a raté sa tentative à 135 kg. À l’épaulé-jeté, il a réussi une barre de 164 kg à la deuxième occasion pour ensuite terminer la compétition avec un troisième essai réussi à 167 kg.
«Je me sentais vraiment bien et j’étais prêt pour lever plus lourd, sauf qu’on a décidé de jouer stratégiquement avec les entraîneurs pour aller chercher une médaille», a expliqué Luna-Grenier.

«J’ai été un peu moins en contrôle sur la plate-forme, mais au final, je me suis bien positionné avec mon arraché. Ensuite, j’ai assuré ma place avec mon premier épaulé-jeté, question de mettre de la pression sur ceux qui me talonnaient», a conclu le Montréalais, satisfait.





Francis Luna-Grenier
est né le 24 avril 1987.
Il est le petit-fils de
Danièle Cliche, membre immortelle et présidente de l’Association des familles Cliche, de 2005 à 2009,
et d’Alphée Grenier.



À 13 ans, Francis découvre l’haltérophilie

Francis Luna-Grenier a été introduit à l’haltérophilie au travers du camp sportif de Sports Montréal. À ce moment, il n’avait aucune idée de ce qu’était l’haltérophilie. Or l’intérêt pour ce sport fut instantané au moment où il effectua son premier épaulé. Le coup d’envoi était réussi et le début d’une longue épopée sportive s’amorçait.

Francis compétitionne pour la première fois en octobre 2000 et pèse sous la barre des 40 kg, il réussit alors ses six tentatives et conclut la compétition avec un arraché de 35 kg et un épaulé-jeté de 45 kg, ce qui lui vaut sa première médaille d’or. Il établit son premier record québécois 7 mois plus tard lors du tournoi des Jeunes Louis-Cyr. En octobre 2002, il prend part à sa première compétition internationale. Francis y décroche la médaille d’or avec un épaulé-jeté de 105 kg. Quelques mois plus tard, en janvier 2003, il gagne son premier titre au championnat canadien junior dans la catégorie des moins de 56 kg, titre qu’il conservera pour les 4 années suivantes. Lors de cette année, Francis établira sa marque aux Jeux du Québec, au championnat canadien senior, au championnat panaméricain scolaire en remportant à chaque fois la première place. L’année 2003 sera marquée par sa première participation au championnat du monde junior tenu à Hermosillo au Mexique.

En 2006, il prend part à sa première compétition internationale senior soit les Jeux du Commonwealth où il terminera en 7e position. Durant cette même année, il rafle la médaille d’or au championnat canadien senior et se qualifie pour son premier championnat du monde senior. Au cours de cette année, la carrière de ce jeune athlète est marquée par le décès de son entraîneur, Mario Parente, ainsi que par une importante blessure au genou droit qui le tiendra à l’écart de l’entraînement pour une période de 3 mois.

Il participe à l’été 2008 aux Jeux Olympiques à Pékin où il prendra la 17e position chez les moins de 69 kg. En 2009, il remportera le championnat canadien senior et obtiendra son meilleur classement au championnat du monde avec une 13e position. En 2010, il remporte le championnat canadien senior, décroche une médaille de bronze au championnat panaméricain et devient champion du monde universitaire. Sa préparation en vue des Jeux du Commonwealth ainsi que du championnat du monde est interrompu par une blessure. Il sera en arrêt d’entraînement jusqu’à la fin 2011. Lors de son retour, il tentera de se qualifier pour les Jeux Olympiques d’été de 2012, or l’équipe canadienne masculine n’obtient pas de laisser-passer pour ces Jeux, de sorte qu’aucun haltérophile masculin ne peut compétitionner aux Jeux de Londres.





Jonathan Toews
Le meilleur joueur de la
Ligue Nationale de hockey

Il est de plus en plus évident que Jonathan Toews est actuellement le meilleur joueur de la LNH. D’ailleurs il a reçu, le 15 juillet 2015, le ESPY AWARD confirmant ce titre pour la dernière saison. Il a devancé ainsi, des joueurs comme Alex Ovechkin, Carey Price, John Tavares et Duncan Keith.

Plus tôt cet été, Jonathan a été  le récipiendaire du trophée Mark Messier Leadership 2015  remis « au joueur qui illustre le mieux les qualités de leadership avec son équipe, tant sur la glace qu’à l’extérieur, pendant la saison régulière ».
Jonathan fait la fierté des Winnipégois

Les gens de Winnipeg se réjouissent de la conquête d'une troisième coupe Stanley lundi soir (15 juin 2015) pour le capitaine de Blackhawks de Chicago, Jonathan Toews, qui a grandi dans le quartier Saint-Vital de la capitale du Manitoba.

Après la victoire de son équipe 2-0 au sixième match de la finale face au Lightning de Tampa Bay, l'athlète de 27 ans est entré dans le cercle très restreint des capitaines ayant mené son équipe à au moins trois championnats de la Ligue nationale de hockey (LNH).

Seuls des légendes comme Jean Béliveau avec 5 coupes Stanley et Wayne Gretzky avec 4 titres ont fait mieux que lui à ce jour­.

Jonathan et sa mère,  Andrée Gilbert

Par sa mère, Jonathan est un descendant Cliche à double titre.
Premièrement, il descend de Agnès Cliche (1235) - Joseph Poulin, à Richard Cliche à Pierre Cliche «Pierrette», à Jean-Baptiste Cliche «Catoche».
Il a également du sang Cliche du côté de Marguerite Cliche (80) - Ignace Giguère.
Sa mère, Andrée Gilbert, a quitté Sainte-Marie de Beauce pour aller apprendre l’anglais à Winnipeg où elle a épousé Bryan Toews.






Jacques Michel: fils de
Cécile Cliche et petit-fils d’une famille pionnière de l’Abitibi


L’auteur-compositeur-interprète, Jacques Michel, né Jacques Rodrigue, a vu le jour à Sainte-Agnès-de-Bellecombe, en Abitibi-Témiscamingue, le 27 juin 1941. Il est le fils de Cécile Cliche et Omer Rodrigue. Cécile est la fille de Joseph Cliche et Alida Giguère. Son ascendance dans la famille Cliche est la suivante: Cécile à Joseph à Bénoni à J.-Baptiste à François à J.-Baptiste (Catoche). Dans l’arbre généalogique des familles Cliche, il se situe à la branche 25.

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Nous vous présentons des extraits d’un texte écrit en 1990 par notre historien Marcel Cliche sur la colonisation de l’Abitibi par des familles Cliche.
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En 1935, la Société diocésaine de colonisation de Sherbrooke décida de développer le canton de Bellecombe en Abitibi. La demande d’Émile Cliche, de Magog, est approuvée par le comité de sélection. Émile est le fils de Bénoni à Jean-Baptiste à François à Catoche. I1 sera du contingent  arrivé à Bellecombe, le 1er septembre 1936.

Un deuxième fils de Bénoni, Joseph (Alida Giguère) reluque l’Abitibi depuis qu’il a entendu dire par un ingénieur du ministère des Terres et Forêts que le bon Dieu n’a rien fait de mieux que ce coin de pays.

En juin 1938, il quitte East-Broughton avec famille à destination de Rouyn. De là, ils se rendent à McWatters où un service de bateau de la CIP, sur la rivière Kinojevis les conduit à leur lot. Cette décision de Joseph de déménager en Abitibi vise à permettre à ses fils de mieux s’établir.

La vie s’anime dans le clan des Cliche de Sainte-Agnès-de-Bellecombe. L’enlèvement des fardoches, la coupe des racines, l’essouchement et l’abattage des arbres, dont des trembles de 30 pouces de souche, occupent toute la maisonnée. Les plus jeunes se voient promettre un fusil de calibre 22 pour augmenter leur productivité.

La mère, Alida, une force de la nature, du haut de ses 5 pieds 10 pouces, participe aux travaux les plus durs. Polyvalente et inépuisable, rien ne la rebute. Elle aura rapidement son jardin qui lui permet de préparer des repas copieux.

Elle confectionne des vêtements à partir de poches de farine que lui apporte Cécile, sa fille, employée à la coopérative du village.Le curé lui offre de la laine; elle va elle-même la chercher au village distant de plusieurs kilomètres et elle revient, à pied, avec la laine, le rouet, sur son dos et 30 livres de sucre, cassonade et fèves « ElIe file. tisse et tricote.

Aujourdhui, il est impressionnant de parcourir les rangs 5 et 6 de Bellecombe (autrefois nommés Rang Cliche), où, sur quelques kilomètres, Joseph et ses enfants se sont façonnés de belles terres à même la forêt. Le terrain est plat, les cours des maisons et les gazons sont entretenus jusqu’au chemin.

Certaines terres sont en friche et, au bout du rang, la maison de Joseph et d’Alida, entourée de fleurs, trône dans toute sa beauté sauvage.

Marcel, le cadet des  garçons, sera le dernier à cultiver sa terre. Seul sa descendance habite encore en  I’Abitibi-Témiscamingue. Les autres revinrent dans les Cantons de l’Est, à North-Hatley et Katevale.

Parmi ceux-ci, on retrouve Cécile Cliche, la mère de Jacques. Il avait 12 ans (1953) lorsqu’il déménagea en Estrie.



Les grands-parents de Jacques Michel:
Joseph Cliche et Alida Giguère





Les parents de Jacques Michel:
Cécile Cliche (1920 - 2003) et Omer Rodrigue (1916 - 2006)





Au bout du rang Cliche, à Bellecombe, la maison de Joseph et d’Alida, entourée de fleurs.




Madame Thérèse Cliche Vézina   fêtera bientôt ses 103 ans



Née le 7 décembre 1912, à Saint-Georges de Beauce, Mme Thérèse Cliche-Vézina fêtera bientôt ses 103 ans. Elle est la deuxième des sept enfants de Gédéon Cliche et Anna Groleau.  Dans l’arbre généalogique des familles Cliche, elle est de la branche 24, celle de Pierre (Pierrette) à Jean-Baptiste (Catoche), et dans le Dictionnaire généalogique elle est au no 2299.

À l’âge de 14 ans, elle déménage avec sa famille à Courville où son père devint contremaître responsable du chargement des «pitounes» sur les wagons de chemin de fer acheminant le bois de pulpe vers l’Anglo Pulp à Québec et aux États-Unis.

Le 24 octobre 1940, elle épouse Anatole (Natole) Vézina, de Boischatel. Le couple vivra dans ce village durant 56 ans et aura une fille, Aline. Cette dernière, mariée à Bertrand Lavoie, a eu trois filles, Paule, France et Valérie. Actuellement Thérèse est l’arrière-grand-mère de 3 garçons et 4 filles.

Peu de temps après le décès de son mari, en 1996, Thérèse a pris logement sur la 1re Avenue, à Québe

Sur la pierre tombale d’Augustin,
le « diable blanc »

Il y a un an, dans le bulletin de liaison les Cliche, nous vous présentions le récit du voyage que Rémi Cliche, de Victoria, Colombie-Britannique, en compagnie de son épouse et de leurs deux filles, avait effectué au vieux cimetière de Campbell River, pour constater qu’aucune plaque n’indiquait le lot où avait été enterré Augustin Cliche, surnommé «le diable blanc». Rémi proposait alors l’achat et la pose d’une pierre tombale. Une campagne de souscription fut alors lancée par l’Association le printemps dernier et, dès la mi-juin, nous avions réuni les montants nécessaires grâce à la générosité de 19 donateurs-trices.  En août dernier, Rémi est retourné au cimetière de Campbell River pour constater l’exécution des travaux. La famille est même allée sur l’île de Quadra Island où a vécu et est mort Augustin.

Le 21 août, un petit voyage spécial commence avec trois missions principales: vérifier l’installation de la pierre tombale d’Augustin Cliche au cimetière de Campbell River sur l’île de Vancouver; déposer quelques fleurs sur la pierre tombale d’Augustin Cliche, frère de mon grand-père paternel Vital Cliche et visiter Quadra Island où a demeuré et est mort Augustin.
En premier, nous sommes allés à la bibliothèque de Campbell River, où la bibliothécaire, emballée par notre recherche, a recommandé une visite au Genealogy Centre et aux archives du musée de Campbell River.
À cet endroit, on y a retrouvé l’article du Campbell River Courier Islander, du 29 mars 1950, qui donne les mêmes informations que celles publiées dans le bulletin les Cliche de mars 2009.
Le lendemain matin, on est allé au cimetière pour déposer quelques fleurs sur la pierre tombale d’Augustin, et penser un peu à lui.
Ensuite, on a pris le traversier de 35 minutes pour Quadra Island qui nous a amenés à Quathiaski Cove.
À la sortie du traversier, on s’est arrêté au bureau de la RCMP où on a eu le numéro de téléphone d’un monsieur McCabe, possiblement un descendant du monsieur McCabe qui avait retrouvé le corps noyé d’Augustin en 1950.
Puis nous avons roulé vers le nord de Quathiaski Cove pour voir la région où a habité Augustin.
Plus tard, nous avons décidé de visiter le Nuyumbalees Cultural Centre, centre culturel des Premières Nations. L’exposition de photos et d’objets culturels, religieux et domestiques qu’on a vue au centre des Nuyumbalees est très impressionnante - une opportunité inattendue de notre voyage !
Nous avons exposé le but de notre visite à Quadra Island à une dame du centre. Cette dernière, impressionnée par notre recherche, a fait quelques téléphones pour essayer de savoir si quelqu’un se souvenait d’Augustin Cliche. Pas de chance !. Un des appels visait à contacter le  monsieur McCabe. Elle n’a pas réussi à le rejoindre ce jour-là et on a échangé nos adresses courriels au cas où elle obtiendrait plus tard des informations intéressantes.
Nous sommes revenus à Victoria avec un sentiment de fierté spécial pour le travail fait par l’équipe de l’Association des familles Cliche.
Ma famille et moi aimerions remercier tous ceux et celles qui ont participé à la réussite de ce projet qui nous tenait à coeur.    Rémi Cliche



Sur le traversier vers Quadra Island.