Association des Familles Cliche (AFC)



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                                          FÊTES ANNUELLES
Depuis la grande fête du rassemblement des familles Cliche, en 1987 à Saint-Joseph de Beauce, qui réunit plus de 1500  membres, parents, amis et alliés de la famille. l'Association des familles Cliche inc. (AFC), qui fut fondée à cette occasion, s'est fait un devoir d'organiser chaque année une fête  dans les régions à forte concentration de Cliche. Ces fêtes ont toujours eu un très bon succès. Nous vous présentons donc dans cette page des textes et des photos pour immortaliser ces moments heureux.


2017
Sainte-Marie
2016
Vallée-Jonction
2015
St-Joseph-de-Beauce
2014
St-Joseph-de-Beauce
2013
Île d'Orléans
2012
Beauce
2011
Trois-Rivières
2010
Lévis
2009
Bois-Francs


La fête du 9 septembre 2017 à Sainte-Marie de Beauce







La fête du 24 septembre 2016 à Vallée-Jonction

Le programme

11 h 30 : Rassemblement facultatif pour le déjeuner-rencontre au Restaurant Feuille d’Érable, situé au 242, rue Principale, Vallée-Jonction.
12 h 45 :
Accueil au Lab/Lieu de création, au Vieux Couvent, 264, rue Assise, Vallée-Jonction.
13 h 15 :
Départ par autobus pour la visite guidée de l’usine Safari Condo, située au 821,  Du Parc, Saint-Frédéric de Beauce. 
14 h 45 :
Départ par autobus pour la visite guidée de la Brasserie Frampton Brasse, située au 430, 5e Rang, Frampton, suivie d’une dégustation de 5 bières. 
16 h 15 : Assemblée générale annuelle de l’Association, au Secteur-S du Vieux Couvent de Vallée-Jonction, 264, rue Assise, Vallée-Jonction.
17 h 00 :
Causerie sur l’histoire centenaire des soeurs de St-François d’Assise.
17 h 45 :
Souper en table d’hôte au Secteur-S du Vieux Couvent avec animation surprise. 
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L'usine Safari Condo

L’idée de Daniel Nadeau, cofondateur de Safari Condo, a fait du chemin depuis le dévoilement du premier véhicule en 1998. La compagnie Safari Condo est née de cette simple idée: produire le petit campeur le plus performant, le moins cher et le plus économique à rouler en Amérique. Safari Condo offre une gamme de 15 modèles de véhicules motorisés ainsi que 3 modèles de caravanes ultra légères ainsi que des centaines de possibilités.
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La ferme brassicole
Frampton Brasse


Établie en mai 2011 à Frampton en Beauce, la ferme brassicole Frampton Brasse se spécialise dans les bières de dégustation. Elle est la troisième à voir le jour au Québec. Elle cultive sur ses terres, l’orge et une variété de houblon destiné à ses produits. Chez Frampton Brasse le mot d’ordre est authenticité! Que des ingrédients purs dans la composition de ses recettes soit: l’eau, le malt, le houblon et la levure. Étant située au cœur des Appalaches, cette ferme brassicole apporte une dimension appréciable à ses produits en utilisant une eau puisée à même la source.
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Le Vieux Couvent de Vallée-Jonction.


LES VISITES 


À l’usine Safari Condo, située au 821,  Du Parc, Saint-Frédéric de Beauce
et à la Brasserie Frampton Brasse, située au 430, 5e Rang, Frampton.




À la Brasserie Frampton Brasse, située au 430, 5e Rang, Frampton.

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L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2016



Le rapport du président


Bonjour les Cliche.

C’est avec un plaisir assuré que je vous présente, en cette nouvelle fête des Cliche en plein cœur de mon village natal, mon quatrième rapport du président.

Comme notre dernier rassemblement annuel date du printemps 2015, avec entre autres le lancement du tome III de « Histoire et généalogie des Familles Cliche » et le spectacle intime de notre cousin Jacques Michel, cette dernière période en fut une de recul, de remise en question sur notre avenir, et finalement de ce qui pourrait se faire pour encore une fois sortir de l’ordinaire. Espérons que notre événement du 24 septembre en sera un de renouveau et que tout le monde puisse en dire:  Ce fut une « Cliche » de belle journée!

L’Association a donc continué à chercher la petite étincelle pour rallumer la flamme, maintenant que nous avons publié le dernier tome du Dictionnaire des Cliche.

Puis, Marcel a continué à faire de belles recherches généalogiques, Vincent à publier le magnifique bulletin Les Cliche, et bien sûr tous les autres administrateurs à accomplir leurs tâches respectives. Le conseil d’administration a aussi eu le privilège de trouver une secrétaire en la personne de Lise Latulippe. Et tous, nous continuons à œuvrer sur la nouveauté : la page Facebook de l’AFC qui devrait vous être annoncée d’ici quelque temps, le prochain lieu de rassemblement qui pourrait nous amener cette fois dans une région différente de notre belle Beauce, et j’en passe…

En terminant, j’aimerais vous inviter comme toujours à nous donner vos commentaires, mais encore plus cette année qu’à l’habitude, question de continuer à nous renouveler. Mon mandat à la présidence se termine dans un an exactement, étant rendu à mi-mandat du second qu’il m’est possible de faire. Il nous faudra donc compter sur vous pour apporter du sang neuf.

Merci à toutes et tous de votre présence à notre fête annuelle. Merci également à tous les membres dévoués du conseil d’administration pour votre appui et longue vie à VOTRE Association pour la garder bien vivante encore longtemps !

Merci pour votre assistance continue à nos rassemblements annuels... et longue vie à VOTRE Association !


Beauce, le 24 septembre 2016

François Cliche, président

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 Le rapport de l'archiviste-généalogiste



Merci de votre présence à la lecture du 29e rapport annuel de l’archiviste- généalogiste !

Avant de commencer, je désire signaler que j’ai été très attristé d’apprendre, hier soir (23 septembre), le décès de ma petite-cousine Liliane Cliche. Elle était de toutes nos fêtes et rassemblements des Cliche, en plus de faire partie du Conseil d’administration de 2003 à 2009. Nos hommages Liliane et nos chaleureuses condoléances à ta grande famille, aux enfants, et à tes frères et sœurs.

1. LE TOME III

Il y a 16 mois, le 30 mai 2015, se déroulait à Saint-Joseph-de-Beauce, le lancement du troisième volume qui complétait la série Histoire et généalogie des familles Cliche, en 2397 pages. Ce fut une belle journée, qui a été couronnée par la prestation du chanteur Jacques Michel.

Je croyais me libérer enfin de plusieurs années de stress. Hélas! L’état de grâce fut de courte durée. Au souper, mon frère Yves constate qu’il manque trente-deux pages dans son livre, et que quatre pages du premier cahier sont interverties. Ce sera le début d’une longue saga qui s’étendra de juin à octobre pour Martine et Marcel, et se poursuivra jusqu’à récemment pour François.

Le lendemain après la vérification de quelques boîtes, il était évident que tous les livres avaient le même problème de pages inversées. Il fallait donc réagir. Deux positions chez les membres du C. A., des partisans de la ligne dure (reprendre tous les volumes) et les modérés (négocier un compromis avec l’imprimeur). François sera notre porte-parole, face à Jean-François Bédard, le responsable du dossier des Cliche à l’imprimerie Transcontinental. Celui-ci, au nom de l’entreprise offre de reprendre tous les volumes pour remettre les pages en ordre.

Ce fut accepté avec négociation d’un délai pour nous permettre de rapatrier les volumes vendus et livrés, donc appel ou courriel à toutes les personnes concernées. Une opération récupération des volumes s’organisa spontanément. L’Association des familles Cliche tient à remercier infiniment Georges Cliche et André A. Cliche qui assurèrent l’aller et retour des dictionnaires de Montréal et la banlieue, de la Montérégie et des Cantons-de-l’Est. À noter que plus de la moitié des acheteurs préférèrent garder le volume tel quel, avec la mise en garde de vérifier toutes les pages, parce qu’entretemps Martine et Marcel avaient constaté que sept volumes avaient des pages déchirées ou pliées.

La valse du transport des volumes se résume ainsi:

1) Le 27 mai, livraison de 78 boîtes, contenant trois volumes et pesant chacune 25 livres ou 11,3 kilos, transportées au sous-sol après descente de douze (intérieur) ou quinze marches (extérieur).

2) Le 30 mai (tomes II et III), à la Joseloise, avec l’aide de François et Anise.

3) Le 18 juin, les volumes en direction de Shawinigan (reliure).

4) Après la mi-juillet retour des livres et distribution.

Une nouvelle vérification générale s’impose. Toutes les pages inversées dans le premier cahier sont en ordre, par contre, grande déception, les pages manquantes, pliées ou déchirées n’ont pas été remplacées. De plus, quinze volumes présentent des défauts de couverture. François continuera de talonner le responsable du dictionnaire à l’imprimerie, ce qui nous vaudra des rabais substantiels et un chèque de plus de 600$ pour les inconvénients créés par tous les contretemps. Donc, un merci sincère à François.

Bilan :

234 tomes III livrés sur les 250 commandés, 24 tomes III avec des défauts plus ou moins importants, 210 volumes à vendre, 171 environ vendus + quatre donnés au dépôt légal, donc il en reste 35 en parfait état, à vendre.

Malgré tout ce qui a été dit, il n’en reste pas moins que les tomes II et III, plus l’index, sont de beaux et excellents volumes d’une grande richesse. Ils contiennent mille photos dont de très anciennes, cent soixante notices biographiques et des centaines de notes explicatives. Ils font le lien entre les familles divisées en vingt-huit branches et présentent le portrait le plus complet pour une famille de cette taille, tenant compte qu’il a fait une grande place à la descendance féminine reliée à Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier. Sans prétention, il s’agit d’un dictionnaire généalogique incomparable sur le marché. Voici un extrait d’un courriel de Brigitte St-Laurent-Taddeo, petite-fille de Colomb Cliche, initiateur de l’Association des familles Cliche:

Je ne crois pas que nous nous soyons jamais rencontrés. Je souhaite vous dire à quel point je trouve les 3 volumes sur l’histoire des Cliche impressionnants et passionnants. J’ose à peine imaginer la somme de travail qu’ils représentent. C’est sûrement le travail de toute une vie.

Je suis une Cliche par ma mère et viens d’apprendre en recevant les tomes 2 et 3 que je suis une directe descendante de Vincent, le 6e enfant de Nicolas ainsi qu’une catoche et une pierrette. Jusqu’à hier, je ne pensais pas qu’on puisse être les deux à la fois. Je me fais déjà un plaisir d’expliquer tout ça à ma mère, Monique (sœur de Colomb et Laval).

Si je tiens compte des sept sociétés de généalogie et d’histoire, des trois personnes sans aucun lien avec les Cliche et des nombreuses personnes avec des liens éloignés, 7e et 8e générations, qui ont acheté les volumes, je suis un peu déçu des ventes actuelles. Cependant facteur atténuant: le prix, l’exaspération due à la lenteur de la production, les personnes qui nous ont quittés depuis les années 2000 et aussi tous les facteurs ambiants reliés à la politique et à la société actuelles, peuvent expliquer les résultats jusqu’ici.


2. LE SALON DES ASSOCIATIONS DE FAMILLES

à Lévis, LES 26, 27 ET 28 FÉVRIER 2016 - Animateurs: Marcel et Andréa Jacques et présence de Pierre Roussin.

Il y a eu un engouement pour notre kiosque. Les photos attirent les gens sans lien avec les Cliche qui remarquent en même temps le dictionnaire. Étonnement devant la beauté et l’ampleur du dictionnaire généalogique. Moult félicitations ! Vente de six volumes, 4 tomes II et 2 tomes III.


3. GRANDE DÉCOUVERTE: UNE DEUXIÈME SOUCHE CLICHE AU QUÉBEC

Si les Mormons et Généanet disent vrai, l’ancêtre de pratiquement tous les Martel serait MARIE-ADRIENNE CLICHE, qui a épousé Jean Martel, à Paris au début des années 1580. Son arrière-petit-fils, Honoré Martel arrive en Nouvelle-France, en 1665, et il épouse la fille du cocher de la reine, Marguerite Lamirault, en 1678. Donc, Yan Martel, célèbre par son livre Histoire de Pi et le film Odyssée de Pi, descend à la fois de Nicolas Cliche, par son arrière-arrière-grand-mère Rosalie Cliche (Eugène Perron), sœur du coloré Vital Cliche à Catoche, et de Marie-Adrienne Cliche.

Si vous allez dans l’index du dictionnaire, vous remarquerez qu’il y a cinquante-cinq Martel liés à des conjoints ou conjointes qui descendent de Nicolas Cliche, et dans le tome II du dictionnaire (page 34, famille 21), deux Cliche, Marie-Adrienne et François, ont épousé des Martel, Jean-Baptiste et Marie-Magdeleine. De plus, ceux-ci ont une postérité relativement importante (voir familles 74, 76, 213, 214, 215, 219, 220, etc.).

Une question se pose. Est-ce que cette Marie-Adrienne Cliche se raccroche aux Cliche du département de l’Aisne en Picardie?


4. RETOUR SUR LES CLICHE DE FRANCE

L’envoi du tome III à Hervé Cliche à Lille m’a replongé dans nos racines françaises. L’examen des données de toutes les fiches généalogiques sur les Cliche de France que j’avais mises en réserve et les tableaux généalogiques contenus dans un livre sur les chroniques historiques valenciennoises d’Isidore Cliche a permis de reconstituer l’arbre généalogique d’Hervé sur douze générations.

Ce retour sur les données généalogiques des Cliche français et de nouvelles recherches ont confirmé les liens entre les Cliche de plusieurs communes (villes ou villages) rapprochés : Bernot, Thenelles, Origny-Ste-Benoîte, St-Quentin, ou éloignés : Bohain-en-Vermandois, Le Cateau-Cambrésis, Cambrai et Valenciennes. Tous les Cliche de ces cités se rattachent à trois frères ou cousins, Jean, Toussaint et Jacques Cliche, nés à Bernot entre 1615 et 1630. Pourtant de toutes les communes nommées ci-dessus, Bernot, 444 habitants, est la seule où le patronyme Cliche a disparu.

Les probabilités que Nicolas Cliche, père, né dans les années 1620, et marié à Catherine Poëte, leur soit apparenté sont très fortes, d’autant plus que St-Quentin se situe à 21 kilomètres de Bernot et que des Poëte vivaient dans cet environnement.

Nous croyons aussi avoir trouvé l’année du décès de Nicolas Cliche, père, soit en 1672 à l’Hôtel-Dieu de St-Quentin.


5. « EN BOUQUINANT »

- Rencontre très agréable avec Anne-Élaine Cliche au Salon du livre de Québec, où elle présentait ses livres, dont « Jonas en mémoire ».

- Surprise en magasinant à la librairie Renaud-Bray, les livres de trois descendants de Nicolas se voisinent presque sur les présentoirs.

a) Paroles de paix en terre autochtone, de Guylaine Cliche, cousine de Maurice Cliche, membre du conseil d’administration.

b) L’économie, c’est pas compliqué, deuxième livre de Gérald Fillion (téléjournal et RDI-économie), petit-fils de Blandine Cliche.

c) Les Hautes Montagnes du Portugal, de Yan Martel, déjà présenté.


6. LA LONGÉVITÉ DES CLICHE À « PIERRETTE » ET LES AUTRES

L’avant-dernier bulletin les Cliche (décembre 2015) présentait trois centenaires, Thérèse Cliche, 103 ans, sœur Marguerite Poulin, petite-fille d’Anastasie Cliche (23), 103 ans le 21 septembre, et Rose-Alma Cliche (26) (Jean-Thomas Giguère), 100 ans, décédée quelque temps après, et nous apprenions dans le journal Le Soleil du 22 septembre 2016, les 101 ans d’Alexandre Champagne (21) de Saint-Martin, époux d’Irma Cliche et petit-fils de Marie-Délima Cliche.

DEUX EXEMPLES DANS LA FAMILLE DE PIERRE CLICHE ET M.-LOUISE LAGUEUX (24)

a) Famille de Gédéon Cliche (24) et Marie-Anna Groleau: (Âges au 1er mai 2016)

1) Marguerite, 93 ans et 2 mois - 2) Gérard, 95 ans - 3) Philippe, 97 ans et 10 mois - 4) Charles-Eugène, 99 ans et 7 mois – 100 ans le 24 novembre 2016 - 5) Thérèse, 103 ans et 6 mois

b) Famille de Joseph Cliche (24) et 1. Angéline Lessard – 2. Agathe Doyon:

1) Laure-Anna, 100 ans le 1er octobre 2016 - 2) Marie-Stella, 98 ans - 3) Charlemagne, 94 ans - 4) Raymonde, 83 ans - 5) Henri-Laval, 82 ans - 6) Laurette, 75 ans


7. DES ARTICLES DANS LES DEUX DERNIERS BULLETINS ET UN ARBRE

A) Présentation d’une immortelle, Marlène Bernard (26), fille de Blanche-Irène Cliche, de Magog, et d’Angèle Jenneau (4), décédée le 23 octobre 2015, et de deux centenaires nommés ci-dessus.

B) Un article sur une personne colorée, Léonce Cliche, un bon vivant.

C) La confection de l’arbre généalogique de Gaétan Cliche (21), né le 22 septembre 1937, époux d’Ella Cliche (21). Sa famille fêtait donc ses 79 ans, la journée de la rencontre des Cliche. Le travail a été livré le 23. La branche 21 est représentée par le couple Joseph Cliche et Céleste Dubord, issu de Jean-Baptiste Cliche, l’aîné.


8 – RECONNAISSANCES

Je tiens à renouveler ma reconnaissance à Pierre Roussin, pour la révision, l’index, et ses conseils variés, à Anise pour avoir enrichi le dictionnaire par ses cueillettes de données et enquêtes généalogiques, à Martine pour avoir trimé dur dans l’index, à Vincent pour la promotion des volumes dans le site web, le bulletin les Cliche et toute son œuvre, à François dans sa gérance de la saga avec l’imprimeur après la publication du tome III, et à Linda et Claire qui de Chicopee, au Massachusetts, ont solutionné des problèmes généalogiques, sans oublier la précieuse banque des avis de décès impliquant des descendants de Nicolas, interceptés et relayés aux Cliche par Linda.

Je tiens aussi à remercier tous les Cliche et descendants qui nous suivent et nous encouragent, depuis plusieurs années, soit comme membres, administrateurs, ou participants aux fêtes annuelles.

Marcel Cliche

Archives et généalogie

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Le Père Gédéon
s'invite au souper



L’artiste Jules Boucher

Le Père Gédéon alias Doris Lussier, grand ami de Robert Cliche, alias l’avocat Cliche du téléroman Les Plouffe de Roger Lemelin, s’est incarné dans monsieur Jules Boucher pour livrer quelques monologues et chansons truculentes aux convives du souper de la fête des Cliche le 24 septembre.

Celui-ci est un artiste accompli qui a joué le rôle du Père Gédéon pour les passagers qui empruntaient le train touristique de Chaudière-Appalaches à partir de Vallée-Jonction. À souligner que notre président François Cliche a été à l’origine et l’administrateur de ce service. Jules a repris ce rôle tous les vendredis du 25 juin au 24 septembre 2010, au restaurant de La cache à Maxime à Scott, dans la pièce LA NOCE GÉDÉON - TASCHEREAU.

De plus, il chante et possède un répertoire varié de chansons folkloriques et de grands chanteurs et paroliers, comme Brel, Brassens, Leclerc, entre autres. Il maîtrise aussi la guitare, la mandoline et le violon. Il a même produit un CD de quatorze chansons.

Un grand merci de l’Association des familles Cliche

LE SOUPER




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La fête du 30 mai 2015 à Saint-Joseph-de-Beauce









L’Association vous avait promis une fête éblouissante et la journée du 30 mai 2015 a tenu cette promesse. Brunch, visites aux Pianos Bolduc ou à la Société du Patrimoine des Beaucerons, assemblée  générale, lancement du Dictionnaire généalogique, souper et spectacle du chanteur Jacques Michel ont représenté autant de moments heureux qui ont ensoleillé cette journée. Près de 140  membres et leurs invités ont participé aux différents évènements de cette fête.










Le programme

11 h 30 : Rassemblement facultatif pour le brunch au Restaurant Bellevue, 1150 avenue du Palais, Saint-Joseph-de-Beauce..

13 h 30 : Visite guidée à la Société du Patrimoine des Beaucerons, 139, rue Ste-Christine, Saint-Joseph-de-Beauce.
OU
Visite guidée de l’usine Pianos Bolduc, 230, Route des Fermes, Saint-Joseph-de-Beauce. 

15h 00 : Assemblée générale annuelle de l’Association, à la Salle La Joseloise, 165, côte Taschereau, Saint-Joseph-de-Beauce.

16 h 15: Lancement du tome III de l’Histoire et généalogie des familles Cliche. 

18h00: Souper et spectacle du chanteur-compositeur Jacques Michel à  La Joseloise. 

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La Société du
patrimoine
des Beaucerons

La Société du patrimoine des Beaucerons a été fondée en 1976. Elle est le centre d’archives régional de la Beauce, agréé par Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) depuis 1994.
Société d’histoire et de généalogie, elle se consacre à la connaissance, à la conservation et à la mise en valeur de l’histoire et du patrimoine de la Beauce.
Sise au 4e étage de la Maison de la culture à St-Joseph-de-Beauce (anciens couvent et orphelinat), la Société du patrimoine des Beaucerons conserve et protège les collections d’archives de la Beauce.

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Les
Pianos Bolduc:
un fleuron beauceron

Établie à St-Joseph-de-Beauce depuis 1978, l’atelier artisanal de restauration Les Pianos Bolduc a cheminé au cours des 36 dernières années vers une usine spécialisée dans la facture de composantes haut de gamme destinées aux plus prestigieux fabricants de pianos au monde tels Fazioli, Steingraeber, Mason & Hamlin, Sauter et plusieurs autres.
La grande majorité des restaurateurs de pianos nord-américains et européens tirent avantage des composantes québécoises fabriquées avec les meilleurs bois d’ici principalement pour la restauration des pianos Steinway & Sons.
Avec une relève assurée par leurs enfants Christian et Catherine, issus des meilleures écoles allemandes et américaines, les dirigeants de Pianos Bolduc envisagent l’avenir avec enthousiasme. L’entreprise occupe le premier rang à titre de chef de file dans l’expertise et la vente au détail de pianos de qualité au Québec.
Pianos Bolduc compte plusieurs employés dans son usine et ses deux magasins de vente de pianos au détail à Saint-Joseph-de-Beauce et à Montréal. L’entreprise québécoise excelle dans la vente de pianos et la fabrication de tables d’harmonie en épinette blanche et de sommiers en érable canadien, tout en conservant sa vocation première: la restauration de pianos.

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Lancement du «plus beau» dictionnaire généalogique du Québec - Marcel Cliche




Sans prétention, il peut être dit, qu’avec les tomes II et III de Histoire et généalogie des familles Cliche, vous avez en main le plus complet et le plus beau dictionnaire généalogique d’une famille importante en nombre et en influence dont les origines « québécoises » remontent au XVIIe siècle.
Qu’est-ce qui justifie cette affirmation?
1. La qualité de l’enveloppe extérieure qui comprend les couvertures, les épines, les pages de garde et les reliures, avec des photos et l’arbre généalogique stylisé. L’ensemble a un bel aspect et les deux volumes malgré des reliures différentes permettent de voir les numéros d’ascendance ou de famille (gauche) et de descendance (droite) sans mettre trop de pression.
2. L’importance du nombre de descendants de Nicolas Cliche et de Marie-Madeleine Pelletier dans le dictionnaire, par rapport au nombre total de descendants du couple souche, avec un accent particulier aux enfants issus des quinze branches féminines et des femmes porteuses du patronyme Cliche. À cette constatation s’ajoute la durée de la période couverte, soit de 1675 à 2015, en commençant par le mariage de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier, le 13 octobre 1675, à Guillaume Audet (Marie-Ève Pilon), petit-fils de Monique Cliche (Gérard Spénard), le 4 juillet 2015. La descendance s’étend sur quatorze générations.
3. Les tomes II et III du dictionnaire généalogique se distinguent par la place qu’y occupent l’histoire et les illustrations.

Ainsi en vous procurant le dictionnaire vous possédez :
a) Un recueil généalogique, véritable mémorial des personnes disparues et vivantes de la grande famille Cliche.
b) Un livre sur l’histoire des descendants de Nicolas et Marie-Madeleine. Trois cent soixante-dix ans après la naissance de Nicolas, en France, et trois cent quarante ans après son mariage, en Nouvelle-France, sa tribu se situe majoritairement au Québec, aux États-Unis (en Nouvelle-Angleterre et les États au sud des Grands Lacs) et en Ontario. Elle est aussi présente dans toutes les provinces canadiennes, excepté Terre-Neuve et
l’Île-du-Prince-Édouard. À souligner que des rejetons vivent et travaillent, ou ont vécu et travaillé sur les cinq continents. De plus, les mentions non exhaustives des métiers et des professions, et les notices biographiques démontrent que les filles et les fils des ancêtres ont excellé dans toutes les sphères de l’activité humaine.
c) Un album photographique d’une grande richesse. Vous y trouvez des portraits de toutes les époques, et plusieurs représentent des gens nés avant 1860.

BRÈVE PRÉSENTATION DU TOME III
(DEUXIÈME VOLUME DU DICTIONNAIRE)

– Il compte mille cent soixante pages et il est numéroté de 931 à 2090, en continuité avec le tome II, paginé de 1 à 930.
– Il présente les descendants des générations 10 à 14.
– Les familles sont présentées dans des encadrés ou rectangles et au bas des encadrés pour certaines familles dans le tome III.
– Le tome II comprend les familles 1 à 2954 et le tome III les familles 3021 à 9885.
– Pour faire votre généalogie ou celle des autres, il est toujours mieux de commencer par soi pour remonter jusqu’aux ancêtres (ascendance).
– La numérotation des familles n’est pas toujours continue parce qu’il a été décidé d’arrêter les descendances à la neuvième, dixième ou onzième génération, soit parce que le lien avec les Cliche est éloigné, ou soit par la contrainte du nombre de pages.
– Autre cas, dans le tome III, plusieurs numéros de descendance (droite) ne conduisent pas aux descendants de la génération suivante. Ils ont été placés volontairement pour permettre aux familles concernées de continuer leur descendance à partir de ces numéros.
Je vous souhaite de belles heures à feuilleter le volume, à reconstituer votre généalogie et celles de parents que vous connaissez, à découvrir votre parenté, plus ou moins éloignée, à regarder les illustrations et à lire les textes historiques.
Marcel Cliche

 

LE BRUNCH

Une quarantaine
de participants
ont envahi
le restaurant Bellevue
pour refaire
leurs forces
avant les visitese.







LES VISITES 


Aux Pianos Bolduc avec la guide, Mme Catherine Bolduc, et à la Société du Patrimoine avec M. Daniel Carrier.




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L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE



Le rapport du président

Bonjour les Cliche.

C’est en ce samedi 30 mai, par une journée très chargée, en activités bien sûr et en émotions surtout, que je vous livre mon troisième rapport du président. La dernière année en aura été une très occupée, par la finalisation et l’impression du Tome III et de son index, par la présentation d’un spectacle intime avec notre artiste-invité descendant de la grande famille Cliche, mais encore par l’organisation de cette fête annuelle arrivée plus vite qu’à l’habitude, par le fait d’un changement de saison, passant de Ï’automne au printemps !

La grande fête de cette année nous amène encore une fois en sol joselois, berceau des familles Cliche de la Beauce. Notre Association y aura fait ses premiers pas en 1986-87, et c’est avec fierté que notre archiviste-généalogiste nous dévoilera le résultat final du troisième et dernier tome de Histoire et généalogie des familles Cliche, après 28 années de recherches historiques et généalogiques sur notre grande et belle famille.

Un autre grand événement marquera notre rassemblement de cette année, avec la présence de notre artiste-invité, l’auteur-compositeur-interprète Jacques Michel, fils de Cécile Cliche, à Joseph, à Bénoni, à Jean-Baptiste, à François, à Catoche. Après lui avoir lancé « Jacques Michel, amène-toi chez nous », il a immédiatement accepté notre invitation. Par la suite, ce fut au tour de son gérant, Vincent Martineau de Panache Média et son équipe très professionnelle, de prendre la relève afin de compléter les détails de sa venue au pays des  « Jarrets noirs ». Merci à vous tous et bonne tournée !

Je complète maintenant ce rapport par de sincères remerciements adressés à toutes les personnes dévouées qui, de près ou de loin, ont permis à l’Association de poursuivre son oeuvre. Spécialement, et surtout cette année, je vous invite chaleureusement à donner vos commentaires, mais aussi de votre temps, afin que nous puissions ensemble continuer à garder notre Association bien vivante. Des postes au sein du conseil d’administration restent à combler et nous comptons plus que jamais sur votre présence pour en assurer une continuité dans l’avenir.

Merci pour votre assistance continue à nos rassemblements annuels... et longue vie à VOTRE Association !

François Cliche, président

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LE LANCEMENT DU 2E VOLUME DU DICTIONNAIRE GÉNÉALOGIQUE




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LE SOUPER


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LE SPECTACLE DU CHANTEUR-COMPOSITEUR JACQUES MICHEL


Présentation de Marcel Cliche

Nous recevons aujourd’hui un  grand artiste québécois, l’auteur, compositeur et interprète Jacques Michel.

Jacques, à Cécile Cliche (Omer Rodrigue), à Joseph, à Bénoni, à Jean-Baptiste (M.-Délima Lessard), à François, à Catoche.

Saviez-vous que Jacques Michel (Rodrigue) est un Catoche, et que ses racines autant paternelles que maternelles sont beauceronnes, de Beauceville par les Rodrigue, et de Saint-Joseph-de-Beauce par les Cliche? Si vous ajoutez à ses deux patronymes, les Lessard, par son arrière-arrière-grand-mère, les Poulin, par son arrière-grand-mère, et les Giguère, par sa grand-mère, il ne peut pas être  plus Beauceron et Joselois, les trois étant originaires de Saint-Joseph.

Jacques Michel sera l’âme des belles années 1970, période d’effervescence culturelle et d’affirmation nationale, marquée par des rassemblements et des marches joyeuses et fleurdelisées.

Nous avons donc le privilège d’entendre l’auteur de dix-huit albums, cent quatre-vingt chansons, de la chanson thème de Star Académie, 2004, récipiendaire de grands prix de la chanson, en Belgique et au Japon, et chevalier de l’Ordre national du Québec, en reconnaissance de son apport à la culture québécoise.










La fête du 25 octobre 2014 à Saint-Joseph de Beauce
Une journée
pleine de chaleur

Le samedi 25 octobre 2014,
une cinquantaine de Cliche,
parents et amis ont

 participé à la fête annuelle
des familles Cliche.

Ce fut un une rencontre
familiale très chaleureuse.
Belle température, visite très
appréciée, bonne humeur:
tout était au rendez-vous.

Nous voulons remercier
 l'organisatrice, Anise
Cliche, 
pour cette belle journée.

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Le programme


11 h 30 : Rassemblement facultatif pour le brunch au Restaurant Le Journel, 269, Route 276 (Côte Taschereau), Saint-Joseph-de-Beauce.

13 h 30 : Accueil à la Salle La Joseloise.

14 h 00 : Visite guidée de l’usine Pianos Bolduc

16 h 00: Assemblée générale

18 h 00 : Souper à La Joseloise

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La journée a commencé
par un brunch facultatif
au Resto-Bar
Le Journel.
On en a profité pour faire
le plein d’énergie avant d’affronter
les autres activités au programme.


Quelques habitués des fêtes familiales


Georges


Fernand


Richard


Joseph



Un fleuron beauceron


Établie à Saint-Joseph-de-Beauce depuis 1978, l’atelier artisanal de restauration Les Pianos Bolduc a cheminé au cours des 36 dernières années vers une usine spécialisée dans la facture de composantes haut de gamme destinées aux plus prestigieux fabricants de pianos au monde tels Fazioli, Steingraeber, Mason & Hamlin, Sauter et plusieurs autres.
La grande majorité des restaurateurs de pianos nord-américains et européens tirent avantage des composantes québécoises fabriquées avec les meilleurs bois d’ici principalement pour la restauration des pianos Steinway & Sons.
Avec une relève assurée par leurs enfants Christian et Catherine, issus des meilleures écoles allemandes et américaines, les dirigeants de Pianos Bolduc envisagent l’avenir avec enthousiasme. L’entreprise occupe le premier rang à titre de chef de file dans l’expertise et la vente au détail de pianos de qualité au Québec.
Pianos Bolduc compte plusieurs employés dans son usine et ses deux magasins de vente de pianos au détail à Saint-Joseph-de-Beauce et à Montréal. L’entreprise québécoise excelle dans la vente de pianos et la fabrication de tables d’harmonie en épinette blanche et de sommiers en érable canadien, tout en conservant sa vocation première: la restauration de pianos.


Christian Bolduc et Anise, l'organisatrice de la fête

Notre guide, Christian Bolduc

Dès son jeune âge, Christian Bolduc démontre un intérêt certain à travailler le bois. Il accompagne souvent son père. André Bolduc, à l’atelier d’ébénisterie et apprend très jeune à manipuler ciseaux à bois et autres outils.
À la fin de ses études secondaires en 1993, Christian s’inscrit en ébénisterie à l’École nationale du meuble de Victoriaville. À son retour à Saint-Joseph-de-Beauce, il s’initie à la restauration de pianos avec son père avant de poursuivre, en 1996, une formation intensive en facture de piano à l’usine Schimmel Pianofortefabrik de Braunschweig, en Allemagne, qu’il complètera par une visite à l’usine de Steinway & Sons à Hambourg.
À son retour d’Europe, Christian épaule son père lors de séminaires de la Piano Technicians Guild aux États-Unis en offrant des classes de formation sur le remplacement du sommier ou de la table d’harmonie du piano.
Aujourd’hui Christian dirige l’usine de Saint-Joseph-de-Beauce et enseigne régulièrement ici comme à l’étranger, la science de la restauration de pianos.

La visite des Pianos Bolduc












L'assemblée générale annuelle



Le rapport du président

Bonjour les Cliche

C’est avec un plaisir renouvelé que je vous livre le rapport annuel du président de l’Association des Familles Cliche. L’année 2013 - 2014 en fut une pleine de réalisations et d’avancement de projets, de projets inattendus et de projets qui nous feront languir un peu plus longtemps.

D’abord la fête de cette année qui nous ramène une fois de plus à Saint-Joseph, berceau des familles Cliche de la Beauce. L’Association y aura fait ses premiers pas, et c’est en terre connue que je vous invite une fois de plus à nous livrer vos commentaires et suggestions, afin d’en assurer sa continuité dans l’avenir.

Dans le but de nous livrer les nouvelles plus rapidement, Vincent a innové une fois de plus en publiant électroniquement «Info les Cliche», permettant ainsi de nous informer entre les bulletins de liaison.  Bravo pour cette belle initiative !  Vous êtes donc invités à nous donner votre adresse électronique afin de faire partie de notre liste d’envoi. Et qui sait… peut-être un jour assisterons-nous à notre assemblée générale en direct sur Skype !

Ensuite, le dictionnaire généalogique qui devra être retardé jusqu’au printemps, mais qui n’en demeurera pas moins un ouvrage des plus complet, tant dans la quantité que dans la qualité des renseignements que nous y retrouverons. Nul doute que ce troisième volume publié par votre Association deviendra un incontournable pour nous tous et sera prisé par les autres associations de familles.

Puis, un autre projet hors du commun a vu le jour et fut réalisé en un temps record, soit celui de financer et d’installer un monument funéraire sur la tombe d’Augustin Cliche, surnommé le «diable blanc», dans le cimetière de Campbell River, sur l’Île de Vancouver, en Colombie-Britannique. Cette réussite est associée à l’étroite collaboration de M. Rémi Cliche de Victoria ainsi qu’à la générosité de plusieurs membres et descendants de la grande Famille Cliche.

Je termine en remerciant tous les membres de l’Association et tous ses administrateurs actuels, pour l’appui et le dévouement apportés tout au long de cette année ainsi que les vingt-six autres déjà derrière nous. Sans vous tous, nous n’aurions pu compter autant de grandes réalisations et de si belles réussites.  Merci également pour votre présence continue aux rassemblements annuels… et longue vie à NOTRE Association !
François Cliche président


Rapport 2014 de l’archiviste- généalogiste
par Marcel Cliche

Heureux de vous voir pour la 27e édition de la rencontre des Cliche.

1. Troisième volume de l’histoire et de la généalogie des Cliche, Jeanneau et Noël

Comme vous l’avez constaté, la science des prédictions et des échéanciers ne constitue pas la tasse de thé de votre généalogiste. Il se souvient d’avoir dit le 8 septembre 2013, à l’Île d’Orléans, qu’en mai ou juin 2014, ce sera le leitmotiv du jeu de la cachette « prêt ou pas prêt, j’y vais pareil ». Une mauvaise évaluation du travail à faire et de nombreux impondérables dans les quatre derniers mois ont rendu évidente la décision de reporter.

Aujourd’hui le deuxième volume du dictionnaire généalogique compte 760 pages prêtes à être imprimées pour un total de 1690, si nous ajoutons les 930 pages du premier tome. Il resterait donc à monter 190 pages pour atteindre l’objectif  de 950. Cependant il y a dans la banque de données des descendants pour au moins cent pages supplémentaires. Donc, grand sujet de réflexion !

2. Méthode de travail et nouvelles ressources

Les banques de données informatisées et les répertoires de baptêmes, mariages et sépultures ne couvrent que partiellement les générations 11, 12, 13 et 14, donc le téléphone s’avère le meilleur outil pour compléter les familles.
Cette étape coïncide avec la découverte d’une nouvelle généalogiste dans la famille Cliche, Anise, qui avait déjà occupé toutes les autres fonctions. Elle apprendra très vite. Armée de son téléphone et de ses fiches, elle sera méthodique, donc efficace, et n’aura pas son pareil pour trouver les sources qui lui révèlent où se cachent les descendants de Nicolas. Elle presse Marcel de lui fournir les feuilles des familles incomplètes qui ont acheté le dictionnaire ou susceptibles de l’acheter, et d’imprimer des fiches par paquet de 500. En quelques mois, elle accomplira un travail colossal. Elle a insufflé de l’air frais pendant que Marcel s’essoufflait et que Martine s’exaspérait. Merci Anise !
Le téléphone ne dérougit pas, et les retours d’appel sont nombreux. Plusieurs personnes s’offrent spontanément pour compléter leur famille élargie. Mme Carmen Labbé de Lac-Mégantic recrutera une personne bilingue de son entourage pour faire des appels en Colombie-Britannique. D’autres rappellent pour signaler des nouvelles naissances et des corrections.

3. Remerciements particuliers aux personnes qui assurent la survie et le dynamisme de l’Association des familles Cliche depuis 27 ans.

- À Vincent, le grand responsable de la continuité de l’Association, par le bulletin les Cliche, et par le site web d’une grande qualité qui lui mérite des félicitations qui ne se rendent pas toujours à l’auteur.
- À Pierre Roussin, le champion de la trésorerie et le Sherlock Holmes qui traque les erreurs des délinquants de la grammaire. À cela s’ajoute son rôle majeur dans la confection du dictionnaire généalogique.
- À François qui assume la présidence avec doigté malgré tous les problèmes  que lui ont créés les débordements des rivières Chaudière et Morency, en 2014.
- À Anise, qui en plus de ce qui a été dit, assume plusieurs tâches, le casier postal, les campagnes de renouvellement annuel, le suivi et son implication dans l’organisation des fêtes annuelles.
- À Andréa Jacques, pour ses connaissances historiques sur le milieu ancestral et comme homme à tout faire (adjoint d’Anise et de Marcel).
- À Linda M. Poirier notre détective sur tout ce qui s’écrit sur les Cliche, dans les journaux et sur le net. C’est elle qui repère tous les décès concernant la famille Cliche. Elle voulait être avec nous, mais ce ne fut pas possible, faute de compagnon ou compagne de voyage. Elle nous envoie une myriade de câlins et de baisers.
- À Martine, la compagne du généalogiste, une alliée et un bourreau de travail dans l’index du dictionnaire et dans la vérification des feuilles qui reviennent de l’infographie.
- À vous tous ici présents, et aux membres de l’Association des familles Cliche qui êtes notre inspiration et le moteur de notre existence.                                        

4. Découverte

À chaque année, l’archiviste présente des personnes connues dont nous ignorions qu’elles étaient liées aux Cliche, et d’autres qui ont fait les manchettes dans des publications diverses. Cette année, il vous fait découvrir une famille apparentée aux premiers Cliche de la Nouvelle-Beauce.
Au mois d’août 2014, Mary Ann Grabowski de Manistee, au Michigan, se présente à la Société du Patrimoine des Beaucerons pour présenter sa famille élargie originaire de Saint-Joseph-de-Beauce.
Elle offre une copie de sa généalogie et des photographies de ses ancêtres nés à Saint-Joseph et à Sainte-Marie de Beauce. Il s’agit de la famille de Magloire Vachon dit Pomerleau, né le 5 avril 1818, à Saint-Joseph-de-Beauce et décédé le 26 mai 1901, à Manistee, Michigan, et d’Émilie Pageau, née en 1822, à Sainte-Marie de Beauce, et décédée le 22 août 1867, à Manistee. Ils ont convolé à Saint-Joseph, le 12 janvier 1841, et six de leurs sept enfants y naîtront entre 1842 et 1852 : Charles, Bénoni, Odule, Alexandre, Paul et André. Alexandre s’éteint à six ans le 2 avril 1854, à Skowhegan, Maine, et un autre garçon verra le jour vers 1859, aux États-Unis, et décédera en bas âge.
Lorsque le directeur de la Société du Patrimoine des Beaucerons montre les documents à Marcel, une lumière s’allume en voyant le nom d’Émilie Pageau parce qu’il sait que des gens portant ce patronyme sont reliés aux Cliche.
Une vérification confirme qu’Émilie est l’arrière-petite-fille de Marie-Françoise Cliche (Alexis Bédard), et la sœur de Jean-Baptiste Cliche (Geneviève Bourbeau), qui ajoutera le nom de famille Cliche aux patronymes de la vallée de la Chaudière...


Le souper


La table du président François



La table de Jocelyne, Thérèse, Marie...



La table d’Anise,  Henri-Laval,  Andréa...


La table de Michel, Andrée, Jean...






La table de Micheline...





Ghislaine et Lionel
 





La fête du 8 septembre 2013 à l'Île-d'Orléans  
Un dimanche
de rêve

Le dimanche 8 septembre 2013, à l’Île d’Orléans,
une cinquantaine de Cliche, parents et amis ont
participé à la fête annuelle des familles Cliche.
Ce fut un dimanche de rêve. Le brunch à l’Auberge
La Grange de l’Île, notre conférencier Mario
Cliche, la visite et la dégustation au Vignoble
Sainte-Pétronille: tout fut parfait.
Nous voulons remercier les organisateurs Anise
Cliche et François Cliche pour cette belle journée.
Nous remercions également les photographes Linda
M. Poirier, Jocelyn Cliche et Vincent Cliche,
qui ont su saisir les meilleurs moments de cette
fête et dont vous pouvez apprécier le travail dans
cette page
.

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Le programme


11 h 00 : Accueil des Cliche au restaurant de l’Auberge La Grange de l’Île
11 h 30 : Dîner à La Grange de l’Île (assiette-brunch)
13 h 00 : Assemblée générale  et élections
14 h 00: Conférence de Mario Cliche 
15 h 00 : Départ pour le Vignoble Sainte-Pétronille
15 h 15 : Visite guidée du Vignoble Sainte-Pétronille et dégustation 
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La Grange de l'Île

Ancienne grange datant de 150 ans et entièrement rénovée, avec un cachet contemporain.
Située en retrait de la route, en pleine nature, elle comprend huit chambres avec salle de bain privée et téléviseur, un restaurant et une salle de réception. 
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Le vignoble Sainte-Pétronille

En 2003, Nathalie Lane et Louis Denault ont fait l’acquisition du Vignoble Sainte-Pétronille et ne cessent depuis de bichonner cette perle rare fondée en 1990 afin de la rendre toujours plus attrayante pour les visiteurs.

Ils plantent chaque année des centaines de ceps et vinifient avec un soin jaloux et un talent certain des vins qui commencent à récolter des médailles.
Le domaine du vignoble s’étend des berges du fleuve St-Laurent jusqu’au milieu de l’île d’Orléans. Situé à l’entrée de la municipalité de Ste-Pétronille, il couvre une superficie de 25 hectares. 75% de sa superficie représente des aires de cultures dont 5,8 hectares en culture de vignes.
 On y retrouve la résidence des propriétaires, le chai et le caveau en sous-sol ainsi que l’ancien bâtiment agricole. Depuis peu, une nouvelle construction abrite une salle de dégustation, une boutique-cadeau, un bistro, une terrasse avec une vue magique du vignoble, du fleuve et de la chute Montmorency.
Les 16 000 vignes en production permettent de tirer six vins, dont l’Insula, une mistelle à base de brandy et de Vandal-Cliche vieillie trois ans en tonneaux de chêne, et le Vandal de glace, qui a remporté l’or à la Coupe des nations et le bronze à la prestigieuse compétition All Canadian Wines Championships 2009.
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Notre conférencier, Mario Cliche
Créateur des cépages
Vandal-Cliche et Saint-Cliche

Le bulletin de liaison Les Cliche publiait en octobre 2000, sous la plume de M. Paul Cliche, de Montréal, un reportage sur le botaniste et agronome Mario Cliche et sa découverte d’un cépage appelé à assurer un développement prometteur de l’industrie vinicole québécoise. Ce cépage est connu sous l’appellation «Vandal-Cliche».
Dans le bulletin Les Cliche de novembre 2011, un nouvel article était publié sous le titre «Le Saint-Cliche, un nouveau cépage québécois très prometteur». Ce cépage donne un vin blanc et est issu d’un croisement entre le Vandal-Cliche et le Maréchal-Foch.
 M. Mario Cliche  était notre conférencier invité et nous a parlé des raisons de la création de ces deux cépages, du travail que ces deux produits ont exigé et des espoirs qu’ils peuvent susciter.
M. Mario Cliche nous a également accompagné lors de notre visite au Vignoble de Sainte-Pétronille, qui fut le premier vignoble à commercialiser, en 1990, le cépage Vandal-Cliche.

Un Cliche de la
Côte de Beaupré


Mario est le fils cadet d’Armand Cliche (2250)* et de Marie-Laure Labbé, mariés à Sainte-Marie de Beauce le 14 octobre 1931.
Son grand-père est Ferdinand «Pit», à Vital à Jean-Baptiste (P’tit Baptiste) à Jean-Baptiste (Catoche). Il est donc de la 23e branche de l’arbre généalogique des familles Cliche.
Le couple Armand Cliche – Marie-Laure Labbé a eu huit enfants. La famille a déménagé de la Beauce à Beaupré avant la naissance de Mario.
Mario a reçu une formation en agronomie. Il détient une maîtrise en sciences agricoles de l’Université Laval. Il a été professeur de botanique au département d’horticulture de l’Institut technique agro-alimentaire (ITA) de Saint-Hyacinthe, à partir de l978. Il est maintenant à la retraite.


                                                                                                                     photo: Jocelyn Cliche 
                         

Vue de l'Auberge La Grange de l'Île où a eu lieu le brunch, l'assemblée générale de
 l'Association et la conférence de M. Mario Cliche.



Le président François souhaite la bienvenue
à la cinquante de participants-tes.

L'accueil,


le brunch et

l'assemblée

générale

                                       photo: Linda M. Poirier

La table du président.


La table de l'ancien président, André A.



Pour la circonstance,
Linda avait revêtu son gilet
aux armoiries de l'Association.


Linda, John, Jocelyn, Marcel et les autres...



Marie-Ange et Joseph.


La table des " Pierrette".


À l'ordre !
l'assemblée générale est ouverte.


 




Notre conférencier, Mario Cliche, et sa conjointe, Claire Dragon.

La conférence

sur les

vignes Cliche

                                     

photo: Jocelyn Cliche

                                    photo: Jocelyn Cliche



Marcel remet un souvenir au conférencier.




La visite

du vignoble

Sainte-Pétronille


 photo: Linda M. Poirier





                                     



La

dégustation










La fête du 25e de l'Association (Beauce - 8 et 9 septembre 2012)
 



Il y a de cela
25 ans...


Au début de l’automne 1986 un petit groupe de bénévoles s’était réuni dans le but d’organiser un grand rassemblement des descendants-es de l’ancêtre Nicolas Cliche et de son épouse Marie-Madeleine Pelletier, à l’occasion des fêtes du 250e anniversaire de l’ouverture de la Beauce à la colonisation. Ces fêtes devaient avoir lieu au cours de l’été de 1987.

Le comité informel avait cependant décidé de se donner un statut légal, puisqu’il était dans son intention de solliciter éventuellement des dons ou des contributions. Il avait donc demandé son incorporation en tant qu’organisme sans but lucratif auprès des institutions gouvernementales. L’Association des familles Cliche inc. reçut sa charte le 4 décembre 1986.

La fête des familles Cliche à Saint-Joseph de Beauce les 10, 11 et 12 juillet 1987 eut un immense succès. Devant ce résultat, la transformation de l’Association, de comité, dont l’objectif avait été d’organiser le grand rassemblement, en organisme permanent, se fit tout naturellement. L’Association des familles Cliche, comme on la connaît aujourd’hui, était née.

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Le programme


Samedi, 8 septembre

10 h 30: Rassemblement facultatif au Restaurant La Barbaque, 775, boul. Vachon Nord, Sainte-Marie de Beauce.

12 h 00:
Visite guidée de la Maison Pierre-Lacroix, 552, rue Notre-Dame Nord, Sainte-Marie de Beauce. 

13 h 45:
Accueil et bienvenue à la Salle Multifonctionnelle  de Vallée-Jonction, 259, boul. J.-M. Rousseau. 

14 h 00 :
Visite guidée de la Scierie-Menuiserie Alphonse-Cliche (SMAC), 198, rue du Moulin, Vallée-Jonction.. 

15 h 45: A
ssemblée générale annuelle de l’Association, à la Salle Multifonctionnelle de Vallée-Jonction.

16 h 15:
Lancement du premier volume du Dictionnaire généalogique des familles Cliche et visite des expositions.

18h00:
Vin d’honneur offert par Marie Cliche à l’Auberge des Moissons.

18h30:
Souper du 25e à l’Auberge des Moissons

Le dimanche, 9 septembre

Tournée au pays des Cliche

12h00:
Rassemblement à la Salle Multifonctionnelle  de Vallée-Jonction, pour une visite guidée en autobus pour découvrir ou redécouvrir les dizaines de lieux ( terres, fermes et maisons) où ont habité ou habitent encore des descendants de l’ancêtre Nicolas Cliche tout le long de la rivière  Chaudière, entre Sainte-Marie et Beauceville.
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Nos photographes:
Jocelyn Cliche, Linda M. Poirier, Odette Blouin-Cliche, François Cliche et Vincent Cliche



Le petit-déjeuner
et
la bienvenue

La journée a commencé par un petit-déjeuner au restaurant La Barbaque, à Sainte-Marie de Beauce, où l’organisateur de la fête, François Cliche, a souhaité la bienvenue aux participants. Ceux-ci en ont profité pour faire le plein d’énergie avant d’affronter les activités de la journée.


La visite
de la Maison
Pierre-Lacroix

La valeur patrimoniale de la maison Pierre-Lacroix, de Sainte-Marie-de-Beauce, repose sur sa rareté régionale, puisque les maisons en pierre sont peu fréquentes dans la Beauce. La maison a été reconnue en 1978 comme monument historique. Elle est un site touristique centré sur l’exposition et la transmission des arts et métiers traditionnels.

 
Les artisanes de la Maison Pierre-Lacroix.




La visite de la
Scierie-menuiserie
 Alphonse-Cliche


 
Fondée en 1903 par l’arrière-grand-père Augustin Cliche et ses fils, la menuiserie oeuvre depuis toutes ces années dans le merveilleux monde du bois. Boiseries ancestrales, portes et fenêtres à guillotine ou à battants, service de sciage et de planage, meubles, bois pour finition intérieure et extérieure, clôtures préfabriquées et autres articles selon les goûts et dimensions de chacun n’en sont que quelques exemples ...

L’entreprise familiale, propriété de François Cliche, arrière-petit-fils d'Alphonse, compte maintenant à son actif une centaine d’années de savoir-faire dans le domaine de la transformation du bois. Les installations actuelles datent de 1934 et la machinerie remonte, quant à elle, à 1917 pour l’atelier de planage, et à 1934 pour la scierie et l’atelier de menuiserie et d’ébénisterie situé dans la partie avant. Une section de briques, toujours en place, servait jadis de chambre de la bouilloire à l’époque de la vapeur, et est utilisée de nos jours comme séchoir pour le bois. Tous les autres bâtiments sont des entrepôts de bois sec d’une multitude d’essences : pin, épinette, cèdre, cèdre de Colombie, merisier, frêne, chêne, tilleul (bois blanc)…





L'assemblée générale



Le lancement du Dictionnaire généalogique

.
L’Auberge des Moissons, à Vallée-Jonction, est non seulement un gîte, mais aussi un restaurant ouvert au public pouvant accueillir 60 personnes ainsi qu’un bistro.
Elle possède quatre grandes chambres qui ont toutes la particularité d’avoir un magnifique bain à pattes d’antan, et des lavabos sur pied complètent les installations de détente. Chaque chambre est meublée de mobilier ayant appartenu à la famille de la propriétaire; que ce soit de la grand-mère maternelle, du grand-père paternel ou de la famille biologique, tout le décor se confond en souvenirs de toutes sortes. Vous découvrirez, par les lucarnes de chaque chambre, une vue imprenable sur la Vallée de la Chaudière et sur cette rivière qui fait tant jaser à la crue des eaux au printemps.
L’Auberge des Moissons porte bien son nom puisque vous découvrirez ces champs qui, inondés au printemps, regorgent d’une culture abondante à l’automne. Que dire aussi de son environnement bondé d’érables si représentatifs de la Beauce.

Découvrir cet endroit c’est découvrir la vie beauceronne et c’est prendre part au développement de notre si belle région. Des deux terrasses vous pourrez voir tout ce paysage tout en dégustant un repas digne de la Beauce.

Gîte et restauration dans le charme d’une maison ancestrale à Vallée-Jonction : c’est ça, l’Auberge des Moissons !
Le souper à l'Auberge des Moissons


Un dimanche au pays des Cliche   

De l’installation du couple Nicolas Cliche – Marie-Madeleine Pelletier à Québec, d’abord, en 1675, comme locataire sur la rue Notre-Dame, puis comme propriétaire, en 1680, sur la Côte de la Montagne, suivie de la dispersion de ses descendants au Québec, au Canada et aux États-Unis, jusqu’à nos jours, peut-on localiser un espace géographique où l’identité Cliche a imprégné et marqué le milieu ?
Ce pays existe sur les rives de l’imprévisible rivière Chaudière dans la Beauce. Il couvre environ 30 kilomètres, du pont de Sainte-Marie à la frontière sud de Saint-Joseph, surtout du côté sud-ouest du cours d’eau sur la route désignée sous plusieurs noms: Rang 1, Rang Bord-de-l’Eau, Chemin de l’Écore, Rang Saint-Étienne ou Rang des Érables.
Le sceau familial est omniprésent sur ce territoire. Le terroir façonné par plusieurs générations de Cliche, un patrimoine bâti, constitué de superbes demeures et de belles familles qui ont enrichi diverses collectivités, témoignent que nous sommes bien dans le pays des Cliche
.


 
Marcel Cliche, l'historien et le généalogiste de la famille, était certainement le meilleur guide
pour la tournée du dimanche 9 septembre au pays des Cliche.

 



La fête du 17 septembre 2011 à Trois-Rivières
Le programme

Le samedi 17 septembre 

10 h 30: Rassemblement facultatif au Restaurant Théo, 4485 boul. Gene-H Kruger.

12 h 30 à 14 h 00:
a) Visite guidée du Musée québécois de culture populaire.
b) Visite guidée de la Vieille Prison. 

14 h 30:
Visite de Boréalis, Centre d’histoire de l’Industrie papetière installé dans l’ancienne usine de pompage et de filtration d’eau de la CIP de Trois-Rivières.

16 h 30 :
Assemblée générale  au restaurant Théo.

18 h 00:
Souper.
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Histoire de
Trois-Rivières


À l’origine, le site de Trois-Rivières était fréquenté par des autochtones de la grande famille algonquine. En raison de sa situation sur deux axes importants (rivière St-Maurice et fleuve St-Laurent) les autochtones avaient déjà choisi, avant l’arrivée des Européens, les lieux pour procéder au troc de fourrures et de spécialités régionales.
En 1535 (le 12 octobre), l’explorateur Jacques Cartier va décrire le site. Il nomme la rivière St-Maurice rivière de Fouez (de Foi ?) et fait ériger une croix sur la pointe de l’île Saint-Quentin. En 1599, le capitaine Dupont-Gravé va le nommer : «Trois-Rivières» en raison d’une illusion créée par le delta formé par les îles.
D’abord comptoir de commerce, Trois-Rivières va ensuite développer une triple vocation qu’elle va conserver au fil des siècles : siège de gouvernement, ville d’éducation et cité industrielle.
Siège d’un gouvernement régional à partir de 1665, Trois-Rivières connaîtra la Conquête britannique mais n’en souffrit pas comme la ville de Québec, et même une brève occupation américaine, qui se terminera par la défaite des «Bostonnais», aux portes de la ville, en 1776.
Au fil des ans, Trois-Rivières consolidera sa vocation de chef-lieu régional en devenant le siège d’un district judiciaire (1792) et d’un évêché (1852).
Au plan de l’éducation, des missionnaires enseignants vont se présenter sur le site de Trois-Rivières dès 1617, c’est-à-dire avant même la fondation de la ville. Avec l’arrivée des religieuses Ursulines, en 1697, une première maison d’enseignement verra le jour et plusieurs autres suivront, jusqu’à l’ouverture de l’Université du Québec à Trois-Rivières, en 1969.
Au plan économique, après l’ère des coureurs des bois et du commerce de la fourrure, Trois-Rivières deviendra ville industrielle quand vont entrer en production les Forges du Saint-Maurice, fondées en 1733 par M. de Francheville. Cette fonderie où l’on fabriquait boulets de canon, poêles en fonte, ainsi que divers ustensiles et accessoires de cuisine, a représenté durant une longue période la principale activité économique de la ville. Une centaine d’années plus tard, avec l’exploitation forestière de la vallée du St-Maurice, Trois-Rivières va abriter d’abord des scieries, puis enfin des usines de papier. Le transport des billots de bois était alors facilité par la rivière Saint-Maurice qui permettait d’acheminer la ressource de sa coupe à l’usine, par flottaison. C’est ainsi que sont devenus célèbres les techniques de drave et les nombreux draveurs y travaillant. Par la suite, Trois-Rivières est devenue la capitale du papier.
Le terrible incendie qui ravage Trois-Rivières en 1908 détruit la majeure partie de la vieille ville, n’épargnant qu’une dizaine de bâtiments datant du Régime français. Le monastère des Ursulines et le manoir de Tonnancour sont heureusement épargnés. Cela entraîne un réaménagement de la ville, dont l’élargissement et le redressement des rues. La reconstruction du centre de la ville coïncide avec les débuts de l’utilisation d’une nouvelle ligne électrique de haute tension qui a favorisé l’avènement et le développement de nouvelles entreprises, dont celle du textile qui encourage la venue de nouveaux paysans.
À partir des années 1960, Trois-Rivières va diversifier sa base économique en misant sur l’éducation collégiale et universitaire, de même que sur l’animation culturelle et touristique. Son centre-ville abrite une intense activité culturelle, dont fait partie le Festival international de la poésie. Elle est aussi une ville de loisir et de sport, qui présente chaque année un Grand-Prix automobile à dimension internationale. Le Vieux Trois-Rivières est décrété arrondissement historique en 1964.
En 2002, les villes de Cap-de-la-Madeleine, Saint-Marthe-du-Cap, Saint-Louis-de-France, Trois-Rivières-Ouest, ainsi que la municipalité de Pointe-du-Lac, ont été fusionnées à la ville de Trois-Rivières, dissolvant ainsi la MRC de Francheville.
Une magnifique journée chez Sieur de Laviolette

    

  La journée a commencé par une rencontre au restaurant Théo.
On en a profité pour faire le plein d’énergie avant d’affronter les quatre heures de visite.

photos Georges Cliche et Vincent Cliche




                                      




Visite de la Vieille Prison et du Musée québécois de culture populaire

Le Musée offre aux visiteurs deux attraits sur le même site. Le bâtiment principal regroupe les différentes expositions du Musée. Tout juste à côté, la Vieille Prison de Trois-Rivières, classée monument historique, présente une visite expérience en prison en compagnie d’anciens détenus.

 

 





Le Musée

Les participants ont pu
visiter trois expositions.
1) Le temps d’une paix :
cette exposition met en valeur le
tournage, les personnages,
 costumes et décors de ce célèbre
feuilleton télévisé.
2) Québec en crimes :
l’histoire criminelle du Québec
 au 20e siècle avec, en toile de
fond, l’évolution de la société
québécoise.
3) De vie à trépas, pratiques
funéraires au Québec :
L’exposition permet d’en connaître
davantage sur l’évolution
des rituels sociaux entourant
la mort au Québec, depuis
les débuts de la colonie
jusqu’à nos jours.



                                     


Visite de Boréalis, centre d'histoire de l'industrie papetière





Situé au confluent de
la rivière Saint-Maurice et
du fleuve Saint-Laurent,
Boréalis vous invite à
vivre la grande aventure
du papier et à découvrir
à travers une expérience
 mémorable l’histoire
des bûcherons et des draveurs.




Sur la terrasse de l’édifice de Boréalis, nous avons une magnifique vue du fleuve Saint-Laurent et pouvons nettement voir la différence de couleur de l’eau de la rivière Saint-Maurice qui rencontre celle du fleuve.

L'Assemblée générale annuelle






La fête du 25 septembre 2010 à Lévis



Malgré une température incertaine, la fête des familles Cliche, le samedi 25 septembre à Lévis,
fut une réussite, tant par le nombre de participants (près d’une cinquantaine de personnes),

que par la qualité des visites (Fort de Lévis et Musée maritime Davie)
et l’excellence
du repas au restaurant L’Escalier.


Photos: Georges Cliche et Vincent Cliche


Le programme


Le samedi 25 septembre 

10 h 30: Rencontre pour toasts et café au restaurant Le Normandin, 206 boul. Président Kennedy.

12 h 30:
Visite guidée  du Fort de Lévis no 1.  Durée de la visite: 2 heures, incluant une présentation de costumes militaires et un thé.

14h30:
Déplacement vers le site historique du chantier maritime A.C. Davie, 6220 rue Saint-Laurent. 

15 h 00:
Visitée guidée du site. Durée approximative de 1 heure.

16 h 00 :
Déplacement vers le restaurant L’Escalier, situé au 6120 rue Saint Laurent (à quelques pas du site maritime). 

16 h 30 : 
Assemblée générale de l’Association.

18 h 00:
Souper.
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Guillaume Couture:
premier colon français
de la Pointe-Lévy
et de la seigneurie
de Lauzon



Avant 1647, la colonisation de la Rive-Sud de Québec était impossible, car le territoire était dominé par les Iroquois. Aucun Français ne pouvait y survivre, sauf Guillaume Couture, car il était aussi interprète et un coureur des bois respecté des tribus amérindiennes (Hurons, Abénaquis et Iroquois).

Guillaume Couture est né le 14 janvier 1618 dans la paroisse Saint-Godard de Rouen en Normandie.Charpentier de métier et héros méconnu de la Nouvelle-France, Il fut interprète pour la signature du premier traité de paix (réunissant les Français et les Iroquois) dans la région de Trois-Rivières en 1645.

Le 15 mai 1647, il fut récompensé par le gouverneur de la Nouvelle-France, Charles Jacques Huault de Montmagny, qui lui accorda une terre à la seigneurie de Lauzon (inoccupée) à la côte de Lauzon (secteur Est de la Ville de Lévis). La terre de Guillaume aura une superficie de 200 arpents, dont 5 arpents de front (devant le fleuve St-Laurent) sur 40 arpents de profondeur dans les terres.

En 1663, il découvrit le Lac Mistassini et en 1690, à titre de capitaine de la milice, il repoussa les troupes de l’amiral William Phips à la Pointe-Lévy. Il avait alors 72 ans. Il est décédé à l’Hôtel-Dieu de Québec, le 4 avril 1701, mais on ne connaît pas le lieu de sa sépulture.

Onze autres familles souches s’installeront par la suite à la Pointe-Lévy au milieu du XVIIe siècle. Il s’agit des Miville, Guay, Cadoret, Duguy, Bégin, Hallé (Hallay), Poiré, Brulotte (Brulot), Carrier, Lecours et Samson (1647-1669)
_______

Petite histoire
de la ville de Lévis

À l’époque de la Nouvelle-France, le territoire au sud de la ville de Québec se nommait la seigneurie de Lauzon et il correspondait presque aux dimensions actuelles de Lévis, après sa fusion avec les municipalités avoisinantes en 2002.

Le territoire de la Rive-Sud de Québec reçut diverses dénominations avant sa colonisation officielle par Guillaume Couture en 1647. Sa première appellation territoriale européenne fut le Cap de Lévy en 1629 par Samuel de Champlain, en hommage à l’actuel Cap Lévi en Cotentin, près de Cherbourg. Le Cap de Lévy situé à la grève Jolliet (près du chantier maritime Davie) devint par la suite le lieu de départ de la seigneurie de Lauzon en 1636. Cette seigneurie appartenait à Jean de Lauzon (Lauson), qui fut gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656.

C’est à St-Joseph-de-la-Pointe-Lévy, sur la côte de Lauzon (secteur de l’ancienne Ville de Lauzon), que la Rive-Sud de Québec prit naissance. La terre du premier habitant, Guillaume Couture, est localisée à l’est de l’église St-Joseph, entre la rue Bourassa et le secteur de l’ancien presbytère de Lauzon et approximativement jusqu’au chemin des forts.

Dès les débuts de sa colonisation en 1647, le territoire reçut le toponyme Pointe-de-Lévy et il fut adopté par la paroisse-mère Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy. La seigneurie sera démantelée en 1836 lors de la faillite de Sir John Caldwell et de là va naître plusieurs petites municipalités et villages sur la Rive-Sud de Québec. La Ville de Lévis est née officiellement le 18 mai 1861, sous l’initiative de Mgr Joseph-David Déziel. Elle s’est constituée par le regroupement de la municipalité de Notre-Dame-de-la-Victoire et la Ville d’Aubigny. Sa dénomination municipale fut choisie en l’honneur de François-Gaston de Lévis, chevalier, seigneur et duc de Lévis (1719-1787), héros de la Bataille de Sainte-Foy (1760).

Les autres municipalités voisines de Lévis vont se développer au milieu du XIXe siècle. Notamment le village de Lauzon en 1867 et en particulier Saint-Romuald en 1876, grâce au commerce du bois et ses secteurs maritimes, dont Chaudière-Bassin, ainsi que les secteurs anglophones de New Liverpool et Hadlow Cove. Sans oublier le secteur de Breakeyville qui s’est développé par la présence de ses moulins à scie. La municipalité de village de Bienville a connu une existence éphémère, de 1863 à 1924: elle fut finalement annexée partiellement à Lauzon et partiellement à Lévis.


La journée a
commencé par une rencontre au restaurant Normandin.
On en a profité pour faire le plein d’énergie avant d’affronter les quatre heures de visite.

                                      



La visite du Fort de Lévis no 1


Contre une éventuelle invasion américaine

Situé sur les hauteurs de la pointe Lévy, le Fort-no 1, de forme pentagonale, est le seule fort intact sur les trois érigés  au milieu du 19e siècle afin de compléter le système défensif de Québec.
La construction des Forts-de-Lévis a débuté en 1865 sous le régime britannique en prévision d’une éventuelle attaque américaine. À cette époque, la Guerre de Sécession vient tout juste de se terminer aux États-Unis. Le Canada est, à l’époque, toujours une colonie britannique. Sa défense est donc responsabilité de la couronne britannique. Les travaux commencent en 1865 et le Fort no 1 est achevé en 1872. Les deux autres forts sont terminés en 1869.
Le mur intérieur du Fort no 1 est fait en béton, coulé dans un coffrage en pierre ce qui représente un exemple d’une nouvelle technologie de l’époque. De plus, des moteurs à vapeur ont fait actionner les machines du chantier. L’expérience du béton fut révélatrice, parce que plusieurs ingénieurs avaient des doutes au sujet de la réaction du béton armé matériaux au gel pendant de longs hivers québécois.
Curieusement, le chantier militaire de la construction d’un fort défensif avec l’utilisation de nouvelles technologies attire un flot de touristes américains qui font des voyages des États-Unis pour voir le cours des travaux qui furent d’une durée de sept années et nécessitèrent le concours de 500 soldats et ouvriers.
Le Fort no 1 a été restauré par Parcs Canada en 1972 et est aujourd’hui ouvert aux visiteurs. Le Fort no 1 est celui situé le plus à l’est dans le secteur de l’ancienne Ville de Lauzon qui était nommée à l’époque St-Joseph-de-Lévis. Il est près de la rue Mgr-Bourget à proximité du Cégep Lévis-Lauzon. Sa position lui permet d’avoir à sa portée le chenal de l’Île d’Orléans, dans le fleuve Saint-Laurent. Le contrôle du trafic maritime était nécessaire pour la défense des villes de Québec, de Lévis ainsi que du port de Québec. Sa position, plus haute en altitude que la Citadelle de Québec, lui permet d’avoir une vue sur les alentours. Sa forme de pentagone irrégulier diffère des 2 autres forts.
De nos jours, le Fort no 1 domine la région et offre un superbe panorama sur la ville de Québec, l’île d’Orléans et la Côte-de-Beaupré. Il abrite une exposition multimédia relatant son histoire. On peut y observer un canon rayé, pièce d’artillerie très imposante, les casemates et les caponnières.

Notre guide, Joannie Tremblay, était très compétente et nous a offert une visite très bien documentée et fort agréable.
On a même eu droit à un défilé de mode...

 

 


La visite du site historique du chantier maritime A.C. Davie
Le Lieu historique A.C. Davie est le seul chantier maritime en Amérique du Nord à avoir conservé des vestiges du 19e siècle. Il est un témoin privilégié et unique représentatif de l’évolution de la réparation et de la construction de navires sur la voie maritime du Saint-Laurent depuis 1829. Nos deux guides, Pierre Lainesse et Gilles Jobidon, nous ont fait découvrir les installations extérieures et intérieures.





                                     



L'Assemblée générale annuelle



Le rapport du président

Bonjour à toutes et à tous et bienvenue à cette 24e Assemblée Générale Annuelle de l’Association des Familles Cliche tenue à Lévis ou, si vous le désirez, le 23e rapport annuel du président de l’Association des Familles Cliche.

Durant la dernière année, votre nouveau Conseil d’Administration élu à la dernière Assemblée Générale Annuelle d’Asbestos, le 29 août 2009, s’est réuni à deux occasions,  soit le 7 novembre 2009 et le 15 mai 2010.
En plus des affaires courantes, vous comprendrez facilement que le dossier prioritaire et d’actualité a concentré nos discussions principalement sur la production du dictionnaire généalogique et de ses effets sur nos finances. Les deux sujets seront traités en détails par notre trésorier Pierre et notre archiviste-généalogiste Marcel dans quelques instants.
Ces deux responsables méritent toute notre appréciation et nos remerciements pour le travail gigantesque et le temps incroyable qu’ils y consacrent. Merci à Martine pour sa collaboration.
Je fais part à l’assemblée de la démission de notre secrétaire Jacinthe Cliche pour raisons personnelles. Nous remercions Jacinthe pour ses services. Anise a gentiment accepté de la remplacer pour fin de cette assemblée, Pour combler  le reste du mandat de Jacinthe  un point a été ajouté à l’ordre du jour à ce sujet.
Durant cette année, trois bulletins de liaison ont été produits et distribués,  novembre  2009, mars et août 2010. Pendant bientôt 25 ans (il faut le faire Vincent !), notre bulletin de liaison, dont la première parution remonte à avril 1987, vous a tenus informés sur les activités de notre association et vous a renseignés sur divers sujets d’intérêt historique. Toutes les collaborations à la rédaction de ces bulletins sont appréciées mais j’aimerais souligner et remercier particulièrement la contribution maintes fois renouvelée de Linda Poirier et de John Sullivan. Vos articles toujours très intéressants nous font comprendre et apprécier une région peu connue de plusieurs d’entre nous.
J’invite donc tous les membres à nous faire parvenir un texte sur un récit, sur un personnage ou sur une histoire de votre région ou d’ailleurs. Nous serons très heureux de les recevoir et de les publier le cas échéant.
Dans les mois à venir la publication du Dictionnaire Généalogique grugera nos surplus  accumulés, c’était prévu ainsi. Toutefois, il faut survivre à ces obligations. Nos dépenses courantes augmentent au rythme de l’inflation et nos modestes revenus proviennent principalement des cotisations annuelles des membres. Le recrutement est donc une priorité. Sachez qu’il y a 1143 Cliche enregistrés dans le réseau 411 de Bell, au Canada, sans compter les non publiés et les commerces de toutes sortes. Il n’en coûte que 30 $ pour être membre pour deux ans.
Durant les derniers 12 mois, nos 3 bulletins ont rapporté malheureusement 29 décès (pas tous des membres actifs, cependant) alors que seulement 3 nouveaux membres (je ne parle pas des renouvellements) ont été ajoutés à la liste. C’est une statistique qui parle d’elle-même. Pensons à notre avenir. Nous devons tous faire un effort. Vous qui cherchez des suggestions, pourquoi ne pas donner à vos enfants ou parents à l’occasion des Fêtes une adhésion à votre association. Peut-être seront-ils motivés par la lecture des bulletins et viendront-ils se joindre à nos rencontres annuelles. Ce serait un beau geste avant notre 25e.   
Durant l’année écoulée, le président, le trésorier et l’archiviste-généalogiste ont assisté à l’une ou l’autre des deux réunions soit AGA ou information et formation de la Fédération des Familles Souches du Québec dont nous sommes membres. Nous pouvons dire que la FFSQ a réalisé durant les deux dernières années son redressement financier et  que son avenir semble mieux encadré. 
Je vous fais part des salutations de Bernard Cliche de Thézan-les-Béziers, France. N’eut été d’un problème de communication, Bernard nous aurait visités en juin dernier. J’espère qu’il pourra se reprendre bientôt.
Soulignons que le 25 septembre 1888, il y a donc 122 ans aujourd’hui, Vital Cliche, à Pierrette à Catoche, mon arrière-grand-père, épousait ici même à Lévis sa quatrième épouse, Célina Lemieux. Elle n’est pas mon arrière-grand-mère de sang puisque c’est de la deuxième épouse de Vital, Anaïs Tardif que Gédéon mon grand-père est né. Marcel pourra me corriger, mais durant les 26 ans de vie commune du couple il n’y a pas eu d’enfants. Il faut dire qu’il y en avait déjà eu 17 avec les trois précédentes épouses. J’ai vraiment hâte de lire le dictionnaire généalogique.   
J’aimerais en terminant vous rappeler que notre réunion de l’an prochain marquera ce que nous convenons d’identifier comme l’année du 25e anniversaire de notre Association puisque c’est durant l’année 1986 que Colomb Cliche a été élu président honoraire de ce qui deviendra l’Association des Familles Cliche, le 11 juillet 1987 lors des retrouvailles. C’est une étape importante dans la vie de notre Association et j’aimerais vous y retrouver, vous, vos amis, vos parents, en grand nombre à cette occasion.  Les détails de la rencontre vous seront fournis dans nos prochains bulletins.     

Merci de votre attention et surtout de votre collaboration.
André A. Cliche, président.

Le souper au restaurant L'Escalier









La fête du 29 août 2009 dans les Bois-Francs
Le programme

11 h: Rencontre facultative pour toasts et café au Restaurant Kingsey, 12 rue Joncas.

12 h: Accueil au parc Marie-Victorin, 385, boul. Marie-Victorin, Kingsey Falls.

12 h 30 à 16 h: Visite guidée du parc et de l’usine Cascades, entrecoupée d’un spectacle  assis (présentation du frère Marie-Victorin).

Le transport entre le Parc et l’usine Cascades se fait au moyen d’une navette qui nous ramène  au point de départ (le parc) après la visite de l’usine.

16 h 00 : Déplacement vers le Restaurant Albatros (salle Lafontaine), 35 Route 255, Asbestos, pour l’assemblée générale et le souper.

16 h 30 : Assemblée générale et élections.

18 h : Souper (Buffet chaud et froid)

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Bienvenue au Parc Marie-Victorin

Situé dans les Bois-Francs, au Centre-du-Québec, le Parc Marie-Victorin a été inauguré en 1985 afin de commémorer le centenaire du réputé botaniste originaire de Kingsey Falls Conrad Kirouac, mieux connu sous le nom de Frère Marie-Victorin.

Évoluant rapidement tout en maintenant son approche de développement durable, le parc a vu accroître sa superficie de 2 à 29 acres depuis son démarrage. Site de divertissement horticole par excellence, ce joyau du tourisme « vert » est aujourd’hui reconnu pour être le plus grand jardin botanique ÉCOLOGIQUE du Québec.

Situé en bordure des magnifiques chutes de la rivière Nicolet, le décor enchanteur du Parc Marie-Victorin offre son spectacle le temps d’un pique-nique, d’une sortie en famille, d’un mariage champêtre et même d’une activité corporative.

Au cœur de ce magnifique parc, vous découvrirez 29 acres de jardins sillonnés par plus de 3 kilomètres de sentiers, 5 jardins thématiques, 9 mosaïcultures impressionnantes (dont 4 animées grâce à l’énergie solaire!) et le paisible spectacle des chutes de la rivière Nicolet. Plus de 1000 espèces de végétaux composent les aménagements horticoles, dont plus de 200 espèces rares et inusitées.
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À propos du Frère Marie-Victorin

Le 3 avril 1885, à Kingsey Falls, naît Joseph-Louis-Conrad Kirouac, au sein d’une famille comptant déjà cinq autres enfants. Son père, Cyrille Kirouac, tient alors un magasin général dans une pièce attenante à la maison familiale.

Le jeune Conrad effectue d’abord des études à l’Académie Commerciale de Québec. Il rejoint par la suite l’Ordre des Frères des Écoles Chrétiennes au noviciat Mont-de-La-Salle, de Maisonneuve, où il prendra le nom de Frère Marie-Victorin.

En décembre 1903, son médecin lui diagnostique la tuberculose et lui recommande de quitter ses livres et ses élèves afin de se promener librement dans les champs et les bois; ce qui l’amène à se découvrir une véritable passion pour la nature et la botanique.

En plus de fonder et diriger l’Institut botanique de Montréal en 1922, il fonde également en 1931 le Jardin botanique de Montréal.

On note parmi ses réalisations les plus marquantes la fondation de l’Association canadienne-française pour l’avancement des sciences (Acfas), ainsi que la rédaction de la Flore Laurentienne.

Le célèbre botaniste s’est étient le 15 juillet 1944, à la suite d’un accident automobile
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L'usine-mère de Papier-Cascades


Fondée en 1964, Cascades oeuvre dans les domaines de la fabrication, de la transformation et de la commercialisation de produits d’emballage et de papiers tissu composés principalement de fibres recyclées.

En 1964, Antonio Lemaire et ses fils se lancent officiellement dans la fabrication de papier à base de fibre recyclée lorsqu’ils achètent, à Kingsey Falls (Québec), un moulin désaffecté de la Dominion Paper Cie. Cette transaction donne naissance à Papier Cascades inc.

En 1971, l’expansion s’amorce pour Cascades avec la création à Kingsey Falls de Cascades Forma-Pak, sa première usine de pâte moulée faite à 100 % de fibres recyclées. Cet événement donne le coup d’envoi du développement d’un véritable complexe papetier au cœur du petit village estrien : de 1972 à 1977 y naîtront successivement Papier Kingsey Falls (cartons multicouches), Industries Cascades (papiers tissu), Plastiques Cascades et Cascades Conversion.




La fête a commencé par la visite du parc Marie-Victorin.
La quarantaine de participants ont été répartis en deux groupes
pour faciliter la tâche des deux guides attitrées à la visite.
 Les jardins couvrent 29 acres où poussent plus de 1000 espèces de végétaux.

Photos

Vincent Cliche et Jocelyn Cliche





Le parc est agrémenté de 9 mosaïcultures dont 4 animées grâce à l’énergie solaire.

On peut y admirer la Chenille, la Bernache, la Salamandre, la Libellule, la Tortue,
l’Abeille, la Bécassine, le Jardinier et la Grenouille.







Qui peut raconter le mieux l’histoire et l’oeuvre de Frère Marie-Victorin que... lui-même ?

Après la visite du parc, tout en dégustant un bon café, les participants ont eu droit à la présence exclusive de Frère Marie-Victorin.
Le comédien Louis Lavoie, qui incarne le réputé botaniste, a répondu à toutes les questions posées.
Ce fut une pause bien appréciée.

La visite de l'usine-mère de Papier-Cascades

Après la visite du parc et la pause avec le Frère Marie-Victorin, les participants sont montés à bord
d’une navette qui les a conduits à l’une des usines Cascades.
Grâce à une présentation multimédia et une visite de l’usine,
nous avons été initiés aux procédés de recyclage en industrie et
aux méthodes de fabrication de papier mouchoir, hygiénique et à mains.
Il était interdit de prendre des photos dans l'usine.


L'assemblée générale





Le Conseil d’administration
2009 - 2011


Au cours de l’assemblée générale
de l’Association, le 29 août 2009,
un nouveau conseil d’administration a été élu.

Vous apercevez sur la photo
(de gauche à droite) :
Pierre Roussin, trésorier,
Andréa Jacques, directeur,
Anise Cliche, directrice,
Vincent Cliche, directeur,
André A. Cliche, président,
Jacinthe Cliche, secrétaire,
Bruno Cliche, vice-président,
Marcel Cliche, archiviste-généalogiste.
Mélanie Cliche, vice-présidente-jeunes,
n’apparaît pas sur la photo.
Le rapport de la présidente

Bonjour à vous tous et toutes réunis pour cette 23e Assemblée Générale Annuelle de l’Association des Familles Cliche.
C’est avec beaucoup de regrets et pour différentes raisons que je ne peux présider cette dernière et 4e année de mon mandat comme présidente du Conseil d’administration.
J’ai donc demandé à André A. Cliche, votre vice-président, de vous lire ce 4 ième rapport. Je le remercie d’avoir accepté si gentiment cette tâche.
Comme à l’habitude, durant cette année, 2008/2009, le Conseil d’Administration s’est réuni 2 fois. Une première fois au début de novembre 2008 et la deuxième au début de juin 2009. Comme à l’habitude après avoir épluché attentivement les procès verbaux, états financiers, correspondances et informations; le recrutement et la publication du dictionnaire généalogique occupent une bonne partie des réunions.
Je ne m’attarderai pas sur ces deux sujets. Pour le recrutement et le nombre de membres actifs, Monsieur Pierre Roussin, trésorier, peut vous fournir les informations adéquates.
En ce qui concerne le dictionnaire généalogique, Monsieur Marcel Cliche, archiviste-généalogiste vous fera son rapport tel que prévu à l’ordre du jour.
Durant cette année, deux membres ont démissionné pour des raisons personnelles. Il s’agit de Mme Carole Cliche, Directrice Régionale pour la région de la Montérégie et de Monsieur Jacques Cliche, directeur régional pour la région des Cantons de l’Est.
Cette année termine une période de deux ans pour le Conseil d’Administration, ce qui veut dire automatiquement élections.
Après deux années à travailler avec tout mon cœur pour l’Association, je ne solliciterai pas de nouveau mandat au Conseil d’Administration. Cependant, je suis persuadée que pour assurer la survie de l’Association, l’accent doit être mis sur le recrutement des jeunes membres quitte à revoir le fonctionnement pour assurer leur participation au niveau du Conseil d’Administration.
Pour terminer, je remercie sincèrement tous les membres du Conseil qui m’ont secondée durant ces quatre années à la Présidence. Félicitations aux nouveaux élus pour les deux prochaines années et mes meilleurs voeux au nouveau président.
Votre présidente Danièle.

23e rapport de l’archiviste généalogiste

1. KIROUAC
Salutations chaleureuses à toutes et à tous! Il me fait plaisir de vous présenter le 23e rapport annuel de l’archiviste généalogiste en titre. Place au commérage en lien avec cette journée. Il est sûr que les Kirouac sont fiers de porter ce patronyme à cause du frère Marie-Victorin, Conrad Kirouac, auteur du best- seller de son temps, en sciences naturelles, La Flore Laurentienne, et fondateur du Jardin botanique de Montréal. À cela, il faut ajouter la reconnaissance publique, par la circonscription électorale, les écoles, les parcs et les boulevards nommés en son honneur.

Ils ont une autre raison de s’enorgueillir car ils comptent dans leur rang, un écrivain mondialement connu, par le livre On the road, et le père de la Beat Generation, Jack Kerouack, un franco-américain d’origine québécoise, né à Lowell, Massachusetts. Plus près de nous, une chanteuse Kirouac était bien placée pour connaître la célébrité de Céline Dion si elle avait eu sa voix, Anne René Manon Kirouac, la première conjointe de René Angelil. Les Cliche ne sont pas en reste, ils ont leur Kirouac, Yves, qui a épousé Marguerite Grondin, en 1961, une petite-fille de Perpétue Cliche de la branche de François Cliche. Ils ont engendré quatre petits Kirouac.

2- LOCALISATION DES CLICHE DANS LES BOIS-FRANCS ET LES ENVIRONS

Les descendants de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier, Cliche et autres noms de famille, ne se limitent pas seulement à la Beauce, Québec, Montréal, région de l’Amiante, Cantons de l’Est et Abitibi. Ils sont présents sur tout le territoire du Québec, y compris dans les Bois-Francs et en périphérie des Cantons-de-l’Est.
 
Le dictionnaire dans l’état actuel indique quatre mariages à Asbestos, un mariage et une naissance à Warwick, aucun acte à Kingsey Falls et le rameau de Lionel Cliche à Victoriaville. Par contre, au sud-ouest d’Asbestos, les Cliche sont bien représentés. La municipalité voisine Wotton accueille un pionnier Cliche, peu de temps après l’ouverture du Canton, en 1844. Il s’agit de Sébastien Cliche et Catherine Boursier, originaire de Sainte-Martine (Châteauguay). Deux filles du couple s’y installeront, Claire (Paul Levesque) et Philomène (Louis Dubois). Sébastien et Catherine décédés respectivement en 1870 et 1874 à Wotton, sont les aïeuls du rameau Cliche, le plus important de l’Ontario. Jean-Baptiste Brault, sur le monument aux pionniers de Wotton, et Marie-Onézime Amiot, de la branche Cliche-Amiot, aussi de la région Châteauguay peupleront cette paroisse et celle de Saint-Camille qui lui est contigüe, de Brault/Pominville, Lamoureux, Pilon, Charland, Bellerose et Lecompte. Ham Sud accueillera des Cliche et des Cloutier de la branche de François à « Catoche ».

Nous avons cru pendant longtemps que Modeste Cliche (Joseph Nadeau), fille de « Catoche », n’avait pas de descendants pour assurer sa continuité, jusqu’à ce que nous les trouvions à Saint-Georges-de-Windsor et Windsor, près d’ici, sous les patronymes : Nadeau, Plante, Laplante et Vallières.

Vous serez surpris par le nombre de lieux où les Cliche et les descendants de Nicolas se sont cachés en Amérique, et aussi par la diversité et la multiplicité des patronymes que vous révélera le recueil généalogique et l’index du dictionnaire des Cliche.
Marcel Cliche