Association des Familles Cliche (AFC) |
Accueil |
FÊTES ANNUELLES
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Depuis la grande fête
du rassemblement des familles Cliche, en
1987 à Saint-Joseph de Beauce, qui réunit plus de 1500
membres, parents, amis et alliés de la famille.
l'Association des familles Cliche inc. (AFC), qui fut fondée
à cette occasion, s'est fait un devoir d'organiser chaque
année une fête dans les régions
à forte concentration de Cliche. Ces fêtes ont toujours eu
un très bon succès. Nous vous présentons donc dans
cette page des textes et des photos pour immortaliser ces moments heureux. |
2017 Sainte-Marie |
2016 Vallée-Jonction |
2015 St-Joseph-de-Beauce |
2014 St-Joseph-de-Beauce |
2013 Île d'Orléans |
2012 Beauce |
2011 Trois-Rivières |
2010 Lévis |
2009 Bois-Francs |
Le programme
11 h 30 : Rassemblement
facultatif pour le déjeuner-rencontre au Restaurant Feuille
d’Érable, situé au 242, rue Principale,
Vallée-Jonction.
12 h 45 : Accueil au Lab/Lieu de création, au Vieux Couvent, 264, rue Assise, Vallée-Jonction. 13 h 15 : Départ par autobus pour la visite guidée de l’usine Safari Condo, située au 821, Du Parc, Saint-Frédéric de Beauce. 14 h 45 : Départ par autobus pour la visite guidée de la Brasserie Frampton Brasse, située au 430, 5e Rang, Frampton, suivie d’une dégustation de 5 bières. 16 h 15 : Assemblée générale annuelle de l’Association, au Secteur-S du Vieux Couvent de Vallée-Jonction, 264, rue Assise, Vallée-Jonction. 17 h 00 : Causerie sur l’histoire centenaire des soeurs de St-François d’Assise. 17 h 45 : Souper en table d’hôte au Secteur-S du Vieux Couvent avec animation surprise.
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L'usine Safari Condo L’idée de Daniel
Nadeau, cofondateur de Safari Condo, a fait du chemin depuis le
dévoilement du premier véhicule en 1998. La compagnie
Safari Condo est née de cette simple idée: produire le
petit campeur le plus performant, le moins cher et le plus
économique à rouler en Amérique. Safari Condo
offre une gamme de 15 modèles de véhicules
motorisés ainsi que 3 modèles de caravanes ultra
légères ainsi que des centaines de possibilités.
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La ferme brassicole Frampton Brasse Établie en mai 2011 à Frampton en Beauce, la ferme brassicole Frampton Brasse se spécialise dans les bières de dégustation. Elle est la troisième à voir le jour au Québec. Elle cultive sur ses terres, l’orge et une variété de houblon destiné à ses produits. Chez Frampton Brasse le mot d’ordre est authenticité! Que des ingrédients purs dans la composition de ses recettes soit: l’eau, le malt, le houblon et la levure. Étant située au cœur des Appalaches, cette ferme brassicole apporte une dimension appréciable à ses produits en utilisant une eau puisée à même la source.
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LES VISITES À l’usine Safari Condo, située au 821, Du Parc, Saint-Frédéric de Beauce et à la Brasserie Frampton Brasse, située au 430, 5e Rang, Frampton.
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Le Père Gédéon
s'invite au souper L’artiste Jules Boucher
Le Père Gédéon alias Doris Lussier, grand ami de Robert Cliche, alias l’avocat Cliche du téléroman Les Plouffe de Roger Lemelin, s’est incarné dans monsieur Jules Boucher pour livrer quelques monologues et chansons truculentes aux convives du souper de la fête des Cliche le 24 septembre. Celui-ci est un artiste accompli qui a joué le rôle du Père Gédéon pour les passagers qui empruntaient le train touristique de Chaudière-Appalaches à partir de Vallée-Jonction. À souligner que notre président François Cliche a été à l’origine et l’administrateur de ce service. Jules a repris ce rôle tous les vendredis du 25 juin au 24 septembre 2010, au restaurant de La cache à Maxime à Scott, dans la pièce LA NOCE GÉDÉON - TASCHEREAU. De plus, il chante et possède un répertoire varié de chansons folkloriques et de grands chanteurs et paroliers, comme Brel, Brassens, Leclerc, entre autres. Il maîtrise aussi la guitare, la mandoline et le violon. Il a même produit un CD de quatorze chansons. Un grand merci de l’Association des familles Cliche |
LE SOUPER _______________________________________ |
L’Association vous avait promis une fête éblouissante et la journée du 30 mai 2015 a tenu cette promesse. Brunch, visites aux Pianos Bolduc ou à la Société du Patrimoine des Beaucerons, assemblée générale, lancement du Dictionnaire généalogique, souper et spectacle du chanteur Jacques Michel ont représenté autant de moments heureux qui ont ensoleillé cette journée. Près de 140 membres et leurs invités ont participé aux différents évènements de cette fête. |
Le programme
11 h 30 : Rassemblement facultatif pour le brunch au Restaurant Bellevue, 1150 avenue du Palais, Saint-Joseph-de-Beauce..
13 h 30 : Visite guidée à la Société du Patrimoine des Beaucerons, 139, rue Ste-Christine, Saint-Joseph-de-Beauce. OU Visite guidée de l’usine Pianos Bolduc, 230, Route des Fermes, Saint-Joseph-de-Beauce. 15h 00 : Assemblée générale annuelle de l’Association, à la Salle La Joseloise, 165, côte Taschereau, Saint-Joseph-de-Beauce. 16 h 15: Lancement du tome III de l’Histoire et généalogie des familles Cliche. 18h00: Souper et spectacle du chanteur-compositeur Jacques Michel à La Joseloise.
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La Société du patrimoine des Beaucerons La
Société du patrimoine des Beaucerons a été
fondée en 1976. Elle est le centre d’archives
régional de la Beauce, agréé par
Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)
depuis 1994.
Société d’histoire et de généalogie, elle se consacre à la connaissance, à la conservation et à la mise en valeur de l’histoire et du patrimoine de la Beauce. Sise au 4e étage de la Maison de la culture à St-Joseph-de-Beauce (anciens couvent et orphelinat), la Société du patrimoine des Beaucerons conserve et protège les collections d’archives de la Beauce.
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Les
Pianos Bolduc: un fleuron beauceron Établie à St-Joseph-de-Beauce depuis 1978, l’atelier artisanal de restauration Les Pianos Bolduc a cheminé au cours des 36 dernières années vers une usine spécialisée dans la facture de composantes haut de gamme destinées aux plus prestigieux fabricants de pianos au monde tels Fazioli, Steingraeber, Mason & Hamlin, Sauter et plusieurs autres. La grande majorité des restaurateurs de pianos nord-américains et européens tirent avantage des composantes québécoises fabriquées avec les meilleurs bois d’ici principalement pour la restauration des pianos Steinway & Sons.
Avec une relève assurée par leurs enfants Christian et
Catherine, issus des meilleures écoles allemandes et
américaines, les dirigeants de Pianos Bolduc envisagent
l’avenir avec enthousiasme. L’entreprise occupe le premier
rang à titre de chef de file dans l’expertise et la vente
au détail de pianos de qualité au Québec.
Pianos Bolduc compte plusieurs employés dans son usine et ses deux magasins de vente de pianos au détail à Saint-Joseph-de-Beauce et à Montréal. L’entreprise québécoise excelle dans la vente de pianos et la fabrication de tables d’harmonie en épinette blanche et de sommiers en érable canadien, tout en conservant sa vocation première: la restauration de pianos. _____________ Lancement du «plus beau» dictionnaire généalogique du Québec - Marcel Cliche Sans prétention, il peut être dit, qu’avec les tomes II et III de Histoire et généalogie des familles Cliche, vous avez en main le plus complet et le plus beau dictionnaire généalogique d’une famille importante en nombre et en influence dont les origines « québécoises » remontent au XVIIe siècle. Qu’est-ce qui justifie cette affirmation? 1. La qualité de l’enveloppe extérieure qui comprend les couvertures, les épines, les pages de garde et les reliures, avec des photos et l’arbre généalogique stylisé. L’ensemble a un bel aspect et les deux volumes malgré des reliures différentes permettent de voir les numéros d’ascendance ou de famille (gauche) et de descendance (droite) sans mettre trop de pression. 2. L’importance du nombre de descendants de Nicolas Cliche et de Marie-Madeleine Pelletier dans le dictionnaire, par rapport au nombre total de descendants du couple souche, avec un accent particulier aux enfants issus des quinze branches féminines et des femmes porteuses du patronyme Cliche. À cette constatation s’ajoute la durée de la période couverte, soit de 1675 à 2015, en commençant par le mariage de Nicolas Cliche et Marie-Madeleine Pelletier, le 13 octobre 1675, à Guillaume Audet (Marie-Ève Pilon), petit-fils de Monique Cliche (Gérard Spénard), le 4 juillet 2015. La descendance s’étend sur quatorze générations. 3. Les tomes II et III du dictionnaire généalogique se distinguent par la place qu’y occupent l’histoire et les illustrations. Ainsi en vous procurant le dictionnaire vous possédez : a) Un recueil généalogique, véritable mémorial des personnes disparues et vivantes de la grande famille Cliche. b) Un livre sur l’histoire des descendants de Nicolas et Marie-Madeleine. Trois cent soixante-dix ans après la naissance de Nicolas, en France, et trois cent quarante ans après son mariage, en Nouvelle-France, sa tribu se situe majoritairement au Québec, aux États-Unis (en Nouvelle-Angleterre et les États au sud des Grands Lacs) et en Ontario. Elle est aussi présente dans toutes les provinces canadiennes, excepté Terre-Neuve et l’Île-du-Prince-Édouard. À souligner que des rejetons vivent et travaillent, ou ont vécu et travaillé sur les cinq continents. De plus, les mentions non exhaustives des métiers et des professions, et les notices biographiques démontrent que les filles et les fils des ancêtres ont excellé dans toutes les sphères de l’activité humaine. c) Un album photographique d’une grande richesse. Vous y trouvez des portraits de toutes les époques, et plusieurs représentent des gens nés avant 1860. BRÈVE PRÉSENTATION DU TOME III (DEUXIÈME VOLUME DU DICTIONNAIRE) – Il compte mille cent soixante pages et il est numéroté de 931 à 2090, en continuité avec le tome II, paginé de 1 à 930. – Il présente les descendants des générations 10 à 14. – Les familles sont présentées dans des encadrés ou rectangles et au bas des encadrés pour certaines familles dans le tome III. – Le tome II comprend les familles 1 à 2954 et le tome III les familles 3021 à 9885. – Pour faire votre généalogie ou celle des autres, il est toujours mieux de commencer par soi pour remonter jusqu’aux ancêtres (ascendance). – La numérotation des familles n’est pas toujours continue parce qu’il a été décidé d’arrêter les descendances à la neuvième, dixième ou onzième génération, soit parce que le lien avec les Cliche est éloigné, ou soit par la contrainte du nombre de pages. – Autre cas, dans le tome III, plusieurs numéros de descendance (droite) ne conduisent pas aux descendants de la génération suivante. Ils ont été placés volontairement pour permettre aux familles concernées de continuer leur descendance à partir de ces numéros. Je vous souhaite de belles heures à feuilleter le volume, à reconstituer votre généalogie et celles de parents que vous connaissez, à découvrir votre parenté, plus ou moins éloignée, à regarder les illustrations et à lire les textes historiques. Marcel Cliche |
LES VISITES Aux Pianos Bolduc avec la guide, Mme Catherine Bolduc, et à la Société du Patrimoine avec M. Daniel Carrier. _________________________________ L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE Le rapport du président Bonjour les Cliche. C’est en ce samedi
30 mai, par une journée très chargée, en
activités bien sûr et en émotions surtout, que je
vous livre mon troisième rapport du président. La
dernière année en aura été une très
occupée, par la finalisation et l’impression du Tome III
et de son index, par la présentation d’un spectacle intime
avec notre artiste-invité descendant de la grande famille
Cliche, mais encore par l’organisation de cette fête
annuelle arrivée plus vite qu’à l’habitude,
par le fait d’un changement de saison, passant de
Ï’automne au printemps !
La grande fête de cette année nous amène encore une fois en sol joselois, berceau des familles Cliche de la Beauce. Notre Association y aura fait ses premiers pas en 1986-87, et c’est avec fierté que notre archiviste-généalogiste nous dévoilera le résultat final du troisième et dernier tome de Histoire et généalogie des familles Cliche, après 28 années de recherches historiques et généalogiques sur notre grande et belle famille. Un autre grand événement marquera notre rassemblement de cette année, avec la présence de notre artiste-invité, l’auteur-compositeur-interprète Jacques Michel, fils de Cécile Cliche, à Joseph, à Bénoni, à Jean-Baptiste, à François, à Catoche. Après lui avoir lancé « Jacques Michel, amène-toi chez nous », il a immédiatement accepté notre invitation. Par la suite, ce fut au tour de son gérant, Vincent Martineau de Panache Média et son équipe très professionnelle, de prendre la relève afin de compléter les détails de sa venue au pays des « Jarrets noirs ». Merci à vous tous et bonne tournée ! Je complète maintenant ce rapport par de sincères remerciements adressés à toutes les personnes dévouées qui, de près ou de loin, ont permis à l’Association de poursuivre son oeuvre. Spécialement, et surtout cette année, je vous invite chaleureusement à donner vos commentaires, mais aussi de votre temps, afin que nous puissions ensemble continuer à garder notre Association bien vivante. Des postes au sein du conseil d’administration restent à combler et nous comptons plus que jamais sur votre présence pour en assurer une continuité dans l’avenir. Merci pour votre assistance continue à nos rassemblements annuels... et longue vie à VOTRE Association ! François Cliche, président
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LE LANCEMENT DU 2E VOLUME DU DICTIONNAIRE GÉNÉALOGIQUE _______________________________ LE SOUPER _______________________________________ LE SPECTACLE DU CHANTEUR-COMPOSITEUR JACQUES MICHEL Présentation de Marcel Cliche Nous recevons aujourd’hui un grand artiste québécois, l’auteur, compositeur et interprète Jacques Michel. Jacques, à Cécile Cliche (Omer Rodrigue), à Joseph, à Bénoni, à Jean-Baptiste (M.-Délima Lessard), à François, à Catoche. Saviez-vous que Jacques Michel (Rodrigue) est un Catoche, et que ses racines autant paternelles que maternelles sont beauceronnes, de Beauceville par les Rodrigue, et de Saint-Joseph-de-Beauce par les Cliche? Si vous ajoutez à ses deux patronymes, les Lessard, par son arrière-arrière-grand-mère, les Poulin, par son arrière-grand-mère, et les Giguère, par sa grand-mère, il ne peut pas être plus Beauceron et Joselois, les trois étant originaires de Saint-Joseph. Jacques Michel sera l’âme des belles années 1970, période d’effervescence culturelle et d’affirmation nationale, marquée par des rassemblements et des marches joyeuses et fleurdelisées. Nous avons donc le privilège d’entendre l’auteur de dix-huit albums, cent quatre-vingt chansons, de la chanson thème de Star Académie, 2004, récipiendaire de grands prix de la chanson, en Belgique et au Japon, et chevalier de l’Ordre national du Québec, en reconnaissance de son apport à la culture québécoise. |
Une journée pleine de chaleur
Le samedi 25 octobre 2014,
__________une cinquantaine de Cliche, parents et amis ont participé à la fête annuelle des familles Cliche. Ce fut un une rencontre familiale très chaleureuse. Belle température, visite très appréciée, bonne humeur: tout était au rendez-vous. Nous voulons remercier l'organisatrice, Anise Cliche, pour cette belle journée. Le programme 11 h 30 :
Rassemblement facultatif pour le brunch au Restaurant Le Journel, 269,
Route 276 (Côte Taschereau), Saint-Joseph-de-Beauce.
13 h 30 : Accueil à la Salle La Joseloise. 14 h 00 : Visite guidée de l’usine Pianos Bolduc 16 h 00: Assemblée générale 18 h 00 : Souper à La Joseloise _____________ |
Quelques habitués des fêtes familiales
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Un fleuron beauceron Établie à Saint-Joseph-de-Beauce depuis 1978, l’atelier artisanal de restauration Les Pianos Bolduc a cheminé au cours des 36 dernières années vers une usine spécialisée dans la facture de composantes haut de gamme destinées aux plus prestigieux fabricants de pianos au monde tels Fazioli, Steingraeber, Mason & Hamlin, Sauter et plusieurs autres. La grande majorité des restaurateurs de pianos nord-américains et européens tirent avantage des composantes québécoises fabriquées avec les meilleurs bois d’ici principalement pour la restauration des pianos Steinway & Sons. Avec une relève assurée par leurs enfants Christian et Catherine, issus des meilleures écoles allemandes et américaines, les dirigeants de Pianos Bolduc envisagent l’avenir avec enthousiasme. L’entreprise occupe le premier rang à titre de chef de file dans l’expertise et la vente au détail de pianos de qualité au Québec. Pianos Bolduc compte plusieurs employés dans son usine et ses deux magasins de vente de pianos au détail à Saint-Joseph-de-Beauce et à Montréal. L’entreprise québécoise excelle dans la vente de pianos et la fabrication de tables d’harmonie en épinette blanche et de sommiers en érable canadien, tout en conservant sa vocation première: la restauration de pianos. Christian Bolduc et Anise, l'organisatrice de la fête Notre guide, Christian Bolduc Dès son jeune âge, Christian Bolduc démontre un intérêt certain à travailler le bois. Il accompagne souvent son père. André Bolduc, à l’atelier d’ébénisterie et apprend très jeune à manipuler ciseaux à bois et autres outils. À la fin de ses études secondaires en 1993, Christian s’inscrit en ébénisterie à l’École nationale du meuble de Victoriaville. À son retour à Saint-Joseph-de-Beauce, il s’initie à la restauration de pianos avec son père avant de poursuivre, en 1996, une formation intensive en facture de piano à l’usine Schimmel Pianofortefabrik de Braunschweig, en Allemagne, qu’il complètera par une visite à l’usine de Steinway & Sons à Hambourg. À son retour d’Europe, Christian épaule son père lors de séminaires de la Piano Technicians Guild aux États-Unis en offrant des classes de formation sur le remplacement du sommier ou de la table d’harmonie du piano. Aujourd’hui Christian dirige l’usine de Saint-Joseph-de-Beauce et enseigne régulièrement ici comme à l’étranger, la science de la restauration de pianos. |
La visite des Pianos Bolduc |
L'assemblée générale annuelle
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Un dimanche
de rêve Le dimanche 8 septembre 2013, à l’Île d’Orléans, une cinquantaine de Cliche, parents et amis ont participé à la fête annuelle des familles Cliche. Ce fut un dimanche de rêve. Le brunch à l’Auberge La Grange de l’Île, notre conférencier Mario Cliche, la visite et la dégustation au Vignoble Sainte-Pétronille: tout fut parfait. Nous voulons remercier les organisateurs Anise Cliche et François Cliche pour cette belle journée. Nous remercions également les photographes Linda M. Poirier, Jocelyn Cliche et Vincent Cliche, qui ont su saisir les meilleurs moments de cette fête et dont vous pouvez apprécier le travail dans cette page. __________ Le programme 11 h 00 : Accueil des Cliche au restaurant de l’Auberge La Grange de l’Île 11 h 30 : Dîner à La Grange de l’Île (assiette-brunch) 13 h 00 : Assemblée générale et élections 14 h 00: Conférence de Mario Cliche 15 h 00 : Départ pour le Vignoble Sainte-Pétronille 15 h 15 : Visite guidée du Vignoble Sainte-Pétronille et dégustation _____________
La Grange de l'Île
Ancienne grange datant de 150 ans et entièrement rénovée, avec un cachet contemporain.
Située en retrait de la route, en pleine nature, elle comprend huit chambres avec salle de bain privée et téléviseur, un restaurant et une salle de réception. _____________
Le vignoble Sainte-PétronilleEn 2003, Nathalie Lane et Louis Denault ont fait l’acquisition du Vignoble Sainte-Pétronille et ne cessent depuis de bichonner cette perle rare fondée en 1990 afin de la rendre toujours plus attrayante pour les visiteurs. Ils plantent chaque année des centaines de ceps et vinifient avec un soin jaloux et un talent certain des vins qui commencent à récolter des médailles. Le domaine du vignoble s’étend des berges du fleuve St-Laurent jusqu’au milieu de l’île d’Orléans. Situé à l’entrée de la municipalité de Ste-Pétronille, il couvre une superficie de 25 hectares. 75% de sa superficie représente des aires de cultures dont 5,8 hectares en culture de vignes. On y retrouve la résidence des propriétaires, le chai et le caveau en sous-sol ainsi que l’ancien bâtiment agricole. Depuis peu, une nouvelle construction abrite une salle de dégustation, une boutique-cadeau, un bistro, une terrasse avec une vue magique du vignoble, du fleuve et de la chute Montmorency. Les 16 000 vignes en production permettent de tirer six vins, dont l’Insula, une mistelle à base de brandy et de Vandal-Cliche vieillie trois ans en tonneaux de chêne, et le Vandal de glace, qui a remporté l’or à la Coupe des nations et le bronze à la prestigieuse compétition All Canadian Wines Championships 2009. _____________
Notre conférencier, Mario Cliche
Créateur des cépages
Vandal-Cliche et Saint-Cliche Le bulletin de liaison Les Cliche
publiait en octobre 2000, sous la plume de M. Paul Cliche, de
Montréal, un reportage sur le botaniste et agronome Mario Cliche
et sa découverte d’un cépage appelé à
assurer un développement prometteur de l’industrie
vinicole québécoise. Ce cépage est connu sous
l’appellation «Vandal-Cliche».
Dans le bulletin Les Cliche de novembre 2011, un nouvel article était publié sous le titre «Le Saint-Cliche, un nouveau cépage québécois très prometteur». Ce cépage donne un vin blanc et est issu d’un croisement entre le Vandal-Cliche et le Maréchal-Foch. M. Mario Cliche était notre conférencier invité et nous a parlé des raisons de la création de ces deux cépages, du travail que ces deux produits ont exigé et des espoirs qu’ils peuvent susciter. M. Mario Cliche nous a également accompagné lors de notre visite au Vignoble de Sainte-Pétronille, qui fut le premier vignoble à commercialiser, en 1990, le cépage Vandal-Cliche. Un Cliche de la
Côte de Beaupré Mario est le fils cadet d’Armand Cliche (2250)* et de Marie-Laure Labbé, mariés à Sainte-Marie de Beauce le 14 octobre 1931. Son grand-père est Ferdinand «Pit», à Vital à Jean-Baptiste (P’tit Baptiste) à Jean-Baptiste (Catoche). Il est donc de la 23e branche de l’arbre généalogique des familles Cliche. Le couple Armand Cliche – Marie-Laure Labbé a eu huit enfants. La famille a déménagé de la Beauce à Beaupré avant la naissance de Mario. Mario a reçu une formation en agronomie. Il détient une maîtrise en sciences agricoles de l’Université Laval. Il a été professeur de botanique au département d’horticulture de l’Institut technique agro-alimentaire (ITA) de Saint-Hyacinthe, à partir de l978. Il est maintenant à la retraite. |
photo: Jocelyn Cliche
Vue de l'Auberge La Grange de l'Île où a eu lieu le brunch, l'assemblée générale de l'Association et la conférence de M. Mario Cliche.
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L'assemblée générale Le lancement du Dictionnaire généalogique
Un dimanche au pays des Cliche De l’installation du couple Nicolas Cliche – Marie-Madeleine Pelletier à Québec, d’abord, en 1675, comme locataire sur la rue Notre-Dame, puis comme propriétaire, en 1680, sur la Côte de la Montagne, suivie de la dispersion de ses descendants au Québec, au Canada et aux États-Unis, jusqu’à nos jours, peut-on localiser un espace géographique où l’identité Cliche a imprégné et marqué le milieu ? Ce pays existe sur les rives de l’imprévisible rivière Chaudière dans la Beauce. Il couvre environ 30 kilomètres, du pont de Sainte-Marie à la frontière sud de Saint-Joseph, surtout du côté sud-ouest du cours d’eau sur la route désignée sous plusieurs noms: Rang 1, Rang Bord-de-l’Eau, Chemin de l’Écore, Rang Saint-Étienne ou Rang des Érables. Le sceau familial est omniprésent sur ce territoire. Le terroir façonné par plusieurs générations de Cliche, un patrimoine bâti, constitué de superbes demeures et de belles familles qui ont enrichi diverses collectivités, témoignent que nous sommes bien dans le pays des Cliche. Marcel Cliche, l'historien et le généalogiste de la famille, était certainement le meilleur guide pour la tournée du dimanche 9 septembre au pays des Cliche. |
Le programme
Le samedi 17 septembre 10 h 30: Rassemblement facultatif au Restaurant Théo, 4485 boul. Gene-H Kruger. 12 h 30 à 14 h 00: a) Visite guidée du Musée québécois de culture populaire. b) Visite guidée de la Vieille Prison. 14 h 30: Visite de Boréalis, Centre d’histoire de l’Industrie papetière installé dans l’ancienne usine de pompage et de filtration d’eau de la CIP de Trois-Rivières. 16 h 30 : Assemblée générale au restaurant Théo. 18 h 00: Souper. _____________
Histoire de
Trois-Rivières À l’origine, le site
de Trois-Rivières était fréquenté par des
autochtones de la grande famille algonquine. En raison de sa situation
sur deux axes importants (rivière St-Maurice et fleuve
St-Laurent) les autochtones avaient déjà choisi, avant
l’arrivée des Européens, les lieux pour
procéder au troc de fourrures et de spécialités
régionales.
En 1535 (le 12 octobre), l’explorateur Jacques Cartier va décrire le site. Il nomme la rivière St-Maurice rivière de Fouez (de Foi ?) et fait ériger une croix sur la pointe de l’île Saint-Quentin. En 1599, le capitaine Dupont-Gravé va le nommer : «Trois-Rivières» en raison d’une illusion créée par le delta formé par les îles. D’abord comptoir de commerce, Trois-Rivières va ensuite développer une triple vocation qu’elle va conserver au fil des siècles : siège de gouvernement, ville d’éducation et cité industrielle. Siège d’un gouvernement régional à partir de 1665, Trois-Rivières connaîtra la Conquête britannique mais n’en souffrit pas comme la ville de Québec, et même une brève occupation américaine, qui se terminera par la défaite des «Bostonnais», aux portes de la ville, en 1776. Au fil des ans, Trois-Rivières consolidera sa vocation de chef-lieu régional en devenant le siège d’un district judiciaire (1792) et d’un évêché (1852). Au plan de l’éducation, des missionnaires enseignants vont se présenter sur le site de Trois-Rivières dès 1617, c’est-à-dire avant même la fondation de la ville. Avec l’arrivée des religieuses Ursulines, en 1697, une première maison d’enseignement verra le jour et plusieurs autres suivront, jusqu’à l’ouverture de l’Université du Québec à Trois-Rivières, en 1969. Au plan économique, après l’ère des coureurs des bois et du commerce de la fourrure, Trois-Rivières deviendra ville industrielle quand vont entrer en production les Forges du Saint-Maurice, fondées en 1733 par M. de Francheville. Cette fonderie où l’on fabriquait boulets de canon, poêles en fonte, ainsi que divers ustensiles et accessoires de cuisine, a représenté durant une longue période la principale activité économique de la ville. Une centaine d’années plus tard, avec l’exploitation forestière de la vallée du St-Maurice, Trois-Rivières va abriter d’abord des scieries, puis enfin des usines de papier. Le transport des billots de bois était alors facilité par la rivière Saint-Maurice qui permettait d’acheminer la ressource de sa coupe à l’usine, par flottaison. C’est ainsi que sont devenus célèbres les techniques de drave et les nombreux draveurs y travaillant. Par la suite, Trois-Rivières est devenue la capitale du papier. Le terrible incendie qui ravage Trois-Rivières en 1908 détruit la majeure partie de la vieille ville, n’épargnant qu’une dizaine de bâtiments datant du Régime français. Le monastère des Ursulines et le manoir de Tonnancour sont heureusement épargnés. Cela entraîne un réaménagement de la ville, dont l’élargissement et le redressement des rues. La reconstruction du centre de la ville coïncide avec les débuts de l’utilisation d’une nouvelle ligne électrique de haute tension qui a favorisé l’avènement et le développement de nouvelles entreprises, dont celle du textile qui encourage la venue de nouveaux paysans. À partir des années 1960, Trois-Rivières va diversifier sa base économique en misant sur l’éducation collégiale et universitaire, de même que sur l’animation culturelle et touristique. Son centre-ville abrite une intense activité culturelle, dont fait partie le Festival international de la poésie. Elle est aussi une ville de loisir et de sport, qui présente chaque année un Grand-Prix automobile à dimension internationale. Le Vieux Trois-Rivières est décrété arrondissement historique en 1964. En 2002, les villes de Cap-de-la-Madeleine, Saint-Marthe-du-Cap, Saint-Louis-de-France, Trois-Rivières-Ouest, ainsi que la municipalité de Pointe-du-Lac, ont été fusionnées à la ville de Trois-Rivières, dissolvant ainsi la MRC de Francheville. |
Une magnifique journée chez Sieur de Laviolette
La journée a commencé par une rencontre au restaurant Théo.
On en a profité pour faire le plein d’énergie avant d’affronter les quatre heures de visite. photos Georges Cliche et Vincent Cliche Visite de la Vieille Prison et du Musée québécois de culture populaire
Visite de Boréalis, centre d'histoire de l'industrie papetière
L'Assemblée générale annuelle
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Le programme Le samedi 25 septembre 10 h 30: Rencontre pour toasts et café au restaurant Le Normandin, 206 boul. Président Kennedy. 12 h 30: Visite guidée du Fort de Lévis no 1. Durée de la visite: 2 heures, incluant une présentation de costumes militaires et un thé. 14h30: Déplacement vers le site historique du chantier maritime A.C. Davie, 6220 rue Saint-Laurent. 15 h 00: Visitée guidée du site. Durée approximative de 1 heure. 16 h 00 : Déplacement vers le restaurant L’Escalier, situé au 6120 rue Saint Laurent (à quelques pas du site maritime). 16 h 30 : Assemblée générale de l’Association. 18 h 00: Souper. _____________
Guillaume Couture:
premier colon français de la Pointe-Lévy et de la seigneurie de Lauzon Guillaume Couture est né le 14 janvier 1618 dans la paroisse Saint-Godard de Rouen en Normandie.Charpentier de métier et héros méconnu de la Nouvelle-France, Il fut interprète pour la signature du premier traité de paix (réunissant les Français et les Iroquois) dans la région de Trois-Rivières en 1645. Le 15 mai 1647, il fut récompensé par le gouverneur de la Nouvelle-France, Charles Jacques Huault de Montmagny, qui lui accorda une terre à la seigneurie de Lauzon (inoccupée) à la côte de Lauzon (secteur Est de la Ville de Lévis). La terre de Guillaume aura une superficie de 200 arpents, dont 5 arpents de front (devant le fleuve St-Laurent) sur 40 arpents de profondeur dans les terres. En 1663, il découvrit le Lac Mistassini et en 1690, à titre de capitaine de la milice, il repoussa les troupes de l’amiral William Phips à la Pointe-Lévy. Il avait alors 72 ans. Il est décédé à l’Hôtel-Dieu de Québec, le 4 avril 1701, mais on ne connaît pas le lieu de sa sépulture. Onze autres familles souches s’installeront par la suite à la Pointe-Lévy au milieu du XVIIe siècle. Il s’agit des Miville, Guay, Cadoret, Duguy, Bégin, Hallé (Hallay), Poiré, Brulotte (Brulot), Carrier, Lecours et Samson (1647-1669) _______
Petite histoire
de la ville de Lévis À l’époque de la Nouvelle-France, le territoire au sud de la ville de Québec se nommait la seigneurie de Lauzon et il correspondait presque aux dimensions actuelles de Lévis, après sa fusion avec les municipalités avoisinantes en 2002. Le territoire de la Rive-Sud de Québec reçut diverses dénominations avant sa colonisation officielle par Guillaume Couture en 1647. Sa première appellation territoriale européenne fut le Cap de Lévy en 1629 par Samuel de Champlain, en hommage à l’actuel Cap Lévi en Cotentin, près de Cherbourg. Le Cap de Lévy situé à la grève Jolliet (près du chantier maritime Davie) devint par la suite le lieu de départ de la seigneurie de Lauzon en 1636. Cette seigneurie appartenait à Jean de Lauzon (Lauson), qui fut gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656. C’est à St-Joseph-de-la-Pointe-Lévy, sur la côte de Lauzon (secteur de l’ancienne Ville de Lauzon), que la Rive-Sud de Québec prit naissance. La terre du premier habitant, Guillaume Couture, est localisée à l’est de l’église St-Joseph, entre la rue Bourassa et le secteur de l’ancien presbytère de Lauzon et approximativement jusqu’au chemin des forts. Dès les débuts de sa colonisation en 1647, le territoire reçut le toponyme Pointe-de-Lévy et il fut adopté par la paroisse-mère Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy. La seigneurie sera démantelée en 1836 lors de la faillite de Sir John Caldwell et de là va naître plusieurs petites municipalités et villages sur la Rive-Sud de Québec. La Ville de Lévis est née officiellement le 18 mai 1861, sous l’initiative de Mgr Joseph-David Déziel. Elle s’est constituée par le regroupement de la municipalité de Notre-Dame-de-la-Victoire et la Ville d’Aubigny. Sa dénomination municipale fut choisie en l’honneur de François-Gaston de Lévis, chevalier, seigneur et duc de Lévis (1719-1787), héros de la Bataille de Sainte-Foy (1760). Les autres municipalités voisines de Lévis vont se développer au milieu du XIXe siècle. Notamment le village de Lauzon en 1867 et en particulier Saint-Romuald en 1876, grâce au commerce du bois et ses secteurs maritimes, dont Chaudière-Bassin, ainsi que les secteurs anglophones de New Liverpool et Hadlow Cove. Sans oublier le secteur de Breakeyville qui s’est développé par la présence de ses moulins à scie. La municipalité de village de Bienville a connu une existence éphémère, de 1863 à 1924: elle fut finalement annexée partiellement à Lauzon et partiellement à Lévis. |
La visite du Fort de Lévis no 1
La visite du site historique du chantier maritime A.C. Davie
Le Lieu historique A.C. Davie est le seul chantier maritime en Amérique du Nord à avoir conservé des vestiges du 19e siècle. Il est un témoin privilégié et unique représentatif de l’évolution de la réparation et de la construction de navires sur la voie maritime du Saint-Laurent depuis 1829. Nos deux guides, Pierre Lainesse et Gilles Jobidon, nous ont fait découvrir les installations extérieures et intérieures. L'Assemblée générale annuelle
Le rapport du président Bonjour
à toutes et à tous et bienvenue à cette 24e
Assemblée Générale Annuelle de l’Association
des Familles Cliche tenue à Lévis ou, si vous le
désirez, le 23e rapport annuel du président de
l’Association des Familles Cliche.
Durant la dernière année, votre nouveau Conseil d’Administration élu à la dernière Assemblée Générale Annuelle d’Asbestos, le 29 août 2009, s’est réuni à deux occasions, soit le 7 novembre 2009 et le 15 mai 2010. En plus des affaires courantes, vous comprendrez facilement que le dossier prioritaire et d’actualité a concentré nos discussions principalement sur la production du dictionnaire généalogique et de ses effets sur nos finances. Les deux sujets seront traités en détails par notre trésorier Pierre et notre archiviste-généalogiste Marcel dans quelques instants. Ces deux responsables méritent toute notre appréciation et nos remerciements pour le travail gigantesque et le temps incroyable qu’ils y consacrent. Merci à Martine pour sa collaboration. Je fais part à l’assemblée de la démission de notre secrétaire Jacinthe Cliche pour raisons personnelles. Nous remercions Jacinthe pour ses services. Anise a gentiment accepté de la remplacer pour fin de cette assemblée, Pour combler le reste du mandat de Jacinthe un point a été ajouté à l’ordre du jour à ce sujet. Durant cette année, trois bulletins de liaison ont été produits et distribués, novembre 2009, mars et août 2010. Pendant bientôt 25 ans (il faut le faire Vincent !), notre bulletin de liaison, dont la première parution remonte à avril 1987, vous a tenus informés sur les activités de notre association et vous a renseignés sur divers sujets d’intérêt historique. Toutes les collaborations à la rédaction de ces bulletins sont appréciées mais j’aimerais souligner et remercier particulièrement la contribution maintes fois renouvelée de Linda Poirier et de John Sullivan. Vos articles toujours très intéressants nous font comprendre et apprécier une région peu connue de plusieurs d’entre nous. J’invite donc tous les membres à nous faire parvenir un texte sur un récit, sur un personnage ou sur une histoire de votre région ou d’ailleurs. Nous serons très heureux de les recevoir et de les publier le cas échéant. Dans les mois à venir la publication du Dictionnaire Généalogique grugera nos surplus accumulés, c’était prévu ainsi. Toutefois, il faut survivre à ces obligations. Nos dépenses courantes augmentent au rythme de l’inflation et nos modestes revenus proviennent principalement des cotisations annuelles des membres. Le recrutement est donc une priorité. Sachez qu’il y a 1143 Cliche enregistrés dans le réseau 411 de Bell, au Canada, sans compter les non publiés et les commerces de toutes sortes. Il n’en coûte que 30 $ pour être membre pour deux ans. Durant les derniers 12 mois, nos 3 bulletins ont rapporté malheureusement 29 décès (pas tous des membres actifs, cependant) alors que seulement 3 nouveaux membres (je ne parle pas des renouvellements) ont été ajoutés à la liste. C’est une statistique qui parle d’elle-même. Pensons à notre avenir. Nous devons tous faire un effort. Vous qui cherchez des suggestions, pourquoi ne pas donner à vos enfants ou parents à l’occasion des Fêtes une adhésion à votre association. Peut-être seront-ils motivés par la lecture des bulletins et viendront-ils se joindre à nos rencontres annuelles. Ce serait un beau geste avant notre 25e. Durant l’année écoulée, le président, le trésorier et l’archiviste-généalogiste ont assisté à l’une ou l’autre des deux réunions soit AGA ou information et formation de la Fédération des Familles Souches du Québec dont nous sommes membres. Nous pouvons dire que la FFSQ a réalisé durant les deux dernières années son redressement financier et que son avenir semble mieux encadré. Je vous fais part des salutations de Bernard Cliche de Thézan-les-Béziers, France. N’eut été d’un problème de communication, Bernard nous aurait visités en juin dernier. J’espère qu’il pourra se reprendre bientôt. Soulignons que le 25 septembre 1888, il y a donc 122 ans aujourd’hui, Vital Cliche, à Pierrette à Catoche, mon arrière-grand-père, épousait ici même à Lévis sa quatrième épouse, Célina Lemieux. Elle n’est pas mon arrière-grand-mère de sang puisque c’est de la deuxième épouse de Vital, Anaïs Tardif que Gédéon mon grand-père est né. Marcel pourra me corriger, mais durant les 26 ans de vie commune du couple il n’y a pas eu d’enfants. Il faut dire qu’il y en avait déjà eu 17 avec les trois précédentes épouses. J’ai vraiment hâte de lire le dictionnaire généalogique. J’aimerais en terminant vous rappeler que notre réunion de l’an prochain marquera ce que nous convenons d’identifier comme l’année du 25e anniversaire de notre Association puisque c’est durant l’année 1986 que Colomb Cliche a été élu président honoraire de ce qui deviendra l’Association des Familles Cliche, le 11 juillet 1987 lors des retrouvailles. C’est une étape importante dans la vie de notre Association et j’aimerais vous y retrouver, vous, vos amis, vos parents, en grand nombre à cette occasion. Les détails de la rencontre vous seront fournis dans nos prochains bulletins. Merci de votre attention et surtout de votre collaboration. André A. Cliche, président.
Le souper au restaurant L'Escalier |
Le programme
11 h: Rencontre facultative pour toasts et café au Restaurant Kingsey, 12 rue Joncas. 12 h: Accueil au parc Marie-Victorin, 385, boul. Marie-Victorin, Kingsey Falls. 12 h 30 à 16 h: Visite guidée du parc et de l’usine Cascades, entrecoupée d’un spectacle assis (présentation du frère Marie-Victorin). Le transport entre le Parc et l’usine Cascades se fait au moyen d’une navette qui nous ramène au point de départ (le parc) après la visite de l’usine. 16 h 00 : Déplacement vers le Restaurant Albatros (salle Lafontaine), 35 Route 255, Asbestos, pour l’assemblée générale et le souper. 16 h 30 : Assemblée générale et élections. 18 h : Souper (Buffet chaud et froid) _____________
Bienvenue au Parc Marie-Victorin
Situé
dans les Bois-Francs, au Centre-du-Québec, le Parc
Marie-Victorin a été inauguré en 1985 afin de
commémorer le centenaire du réputé botaniste
originaire de Kingsey Falls Conrad Kirouac, mieux connu sous le nom de
Frère Marie-Victorin.
_____________Évoluant rapidement tout en maintenant son approche de développement durable, le parc a vu accroître sa superficie de 2 à 29 acres depuis son démarrage. Site de divertissement horticole par excellence, ce joyau du tourisme « vert » est aujourd’hui reconnu pour être le plus grand jardin botanique ÉCOLOGIQUE du Québec. Situé en bordure des magnifiques chutes de la rivière Nicolet, le décor enchanteur du Parc Marie-Victorin offre son spectacle le temps d’un pique-nique, d’une sortie en famille, d’un mariage champêtre et même d’une activité corporative. Au cœur de ce magnifique parc, vous découvrirez 29 acres de jardins sillonnés par plus de 3 kilomètres de sentiers, 5 jardins thématiques, 9 mosaïcultures impressionnantes (dont 4 animées grâce à l’énergie solaire!) et le paisible spectacle des chutes de la rivière Nicolet. Plus de 1000 espèces de végétaux composent les aménagements horticoles, dont plus de 200 espèces rares et inusitées. Le 3 avril 1885, à Kingsey Falls, naît Joseph-Louis-Conrad Kirouac, au sein d’une famille comptant déjà cinq autres enfants. Son père, Cyrille Kirouac, tient alors un magasin général dans une pièce attenante à la maison familiale. Le jeune Conrad effectue d’abord des études à l’Académie Commerciale de Québec. Il rejoint par la suite l’Ordre des Frères des Écoles Chrétiennes au noviciat Mont-de-La-Salle, de Maisonneuve, où il prendra le nom de Frère Marie-Victorin. En décembre 1903, son médecin lui diagnostique la tuberculose et lui recommande de quitter ses livres et ses élèves afin de se promener librement dans les champs et les bois; ce qui l’amène à se découvrir une véritable passion pour la nature et la botanique. En plus de fonder et diriger l’Institut botanique de Montréal en 1922, il fonde également en 1931 le Jardin botanique de Montréal. On note parmi ses réalisations les plus marquantes la fondation de l’Association canadienne-française pour l’avancement des sciences (Acfas), ainsi que la rédaction de la Flore Laurentienne. Le célèbre botaniste s’est étient le 15 juillet 1944, à la suite d’un accident automobile _____________
L'usine-mère de Papier-Cascades
Fondée en 1964, Cascades oeuvre dans les domaines de la fabrication, de la transformation et de la commercialisation de produits d’emballage et de papiers tissu composés principalement de fibres recyclées. En 1964, Antonio Lemaire et ses fils se lancent officiellement dans la fabrication de papier à base de fibre recyclée lorsqu’ils achètent, à Kingsey Falls (Québec), un moulin désaffecté de la Dominion Paper Cie. Cette transaction donne naissance à Papier Cascades inc. En 1971, l’expansion s’amorce pour Cascades avec la création à Kingsey Falls de Cascades Forma-Pak, sa première usine de pâte moulée faite à 100 % de fibres recyclées. Cet événement donne le coup d’envoi du développement d’un véritable complexe papetier au cœur du petit village estrien : de 1972 à 1977 y naîtront successivement Papier Kingsey Falls (cartons multicouches), Industries Cascades (papiers tissu), Plastiques Cascades et Cascades Conversion. |
La fête a commencé par la visite du parc Marie-Victorin. La quarantaine de participants ont été répartis en deux groupes pour faciliter la tâche des deux guides attitrées à la visite. Les jardins couvrent 29 acres où poussent plus de 1000 espèces de végétaux. Photos Vincent Cliche et Jocelyn Cliche Le parc est agrémenté de 9 mosaïcultures dont 4 animées grâce à l’énergie solaire. On peut y admirer la Chenille, la Bernache, la Salamandre, la Libellule, la Tortue, l’Abeille, la Bécassine, le Jardinier et la Grenouille. Qui peut raconter le mieux l’histoire et l’oeuvre de Frère Marie-Victorin que... lui-même ?
Après la visite du parc, tout en dégustant un bon café, les participants ont eu droit à la présence exclusive de Frère Marie-Victorin. Le comédien Louis Lavoie, qui incarne le réputé botaniste, a répondu à toutes les questions posées. Ce fut une pause bien appréciée. La visite de l'usine-mère de Papier-Cascades
Après
la visite du parc et la pause avec le Frère Marie-Victorin, les
participants sont montés à bord
d’une navette qui les a conduits à l’une des usines Cascades. Grâce à une présentation multimédia et une visite de l’usine, nous avons été initiés aux procédés de recyclage en industrie et aux méthodes de fabrication de papier mouchoir, hygiénique et à mains. Il était interdit de prendre des photos dans l'usine. L'assemblée générale
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